1. Et Dieu créa la femme !


    Datte: 22/07/2022, Catégories: cadeau, candaul, amour, Oral fantastique, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... reste sur la hampe et bouge lentement.
    
    Alors la chose se réveille. La main n’est plus utile, la hampe se raidit doucement. La hampe se raidit, grossit, s’allonge. Bientôt Mamour doit reculer sous l’avancée du sexe. Il est beau. Chéri a même bougé de son fauteuil pour le voir aussi.
    
    Toujours rien de monstrueux mais de différent. D’abord sa couleur qui est chargée de tant de fantasme. Des fantasmes qui déforment la vision, pour par un effet « loupe » imaginaire, la faire plus imposante.
    
    Mamour en vérifie la réalité avec ses lèvres, sa langue, sa bouche qui en accueille le plus possible. À l’aune de celle de son mari, il faut bien reconnaître que malgré ses efforts il reste deux centimètres.
    
    Mais l’homme apprécie. Il gémit de ces caresses. Ses mains accompagnent la tête qui bouge.
    
    — Viens. Viens sur moi, demande-t-il en se laissant aller contre le canapé.
    
    Il ne faut pas lui dire deux fois. Mamour va au plus pressé, le short passe les cuisses, les mollets, les chevilles. Les genoux se posent de chaque côté de Marc et Mamour le chevauche.
    
    Ô temps, suspends ton vol.
    
    Lamartine ne pensait sûrement pas que cette phrase passée à la postérité décrirait si bien ce qui se passe.
    
    Moi, être de lumière, je regarde. Je suis toujours étonné comme les humains sont sensibles dans ces moments-là. Leur cerveau est en ébullition. Pourtant ce n’est qu’un morceau de chair et corps caverneux qui entrent dans un conduit somme toute assez banal. Pourtant cela les bouleverse. ...
    ... Même le mari s’est approché. Il veut avoir sa part de spectacle, après tout il en est l’organisateur. Ses yeux sortent de leurs orbites lorsqu’il voit que millimètre après millimètre, Mamour se laisse descendre sur ce bâton et que les fesses viennent se poser, accompagnées par un soupir qui ferait bander un eunuque.
    
    — Oh, Chéri, il est tout en moi, dit Mamour découvrant son mari juste à côté.
    
    Le bassin ondule, la croupe bouge, les fesses remontent un peu pour redescendre dans un mouvement digne d’une danse du ventre.
    
    Marc est aux anges. Quel drôle d’expression ! Aucun ange n’est aussi vicieux et pervers pour apprécier ce genre de situation. Sauf… moi peut être, que des millénaires d’observation du genre humain, perturbe par moment.
    
    D’un coup de reins magistral Marc se soulève entraînant Mamour chevillé au plus profond. Quelques pas où les secousses déclenchent des petits cris et c’est sur la table qu’il dépose son fardeau. Mais un fardeau, extension de lui-même, dont il saisit les chevilles pour l’ouvrir encore plus à ses assauts.
    
    La table grince. Elle n’est pas habituée à un tel traitement. Ce bruit accompagne les avancées de Marc dont la queue arrache de plus en plus de cris qui sortent de la gorge de Mamour alors que son corps est secoué et que ses mains s’accrochent à la table pour ne pas tomber.
    
    Mais pendant tout ce temps, le Mari Chéri sent que de regarder ne lui suffit plus. La façon dont Mamour est allongé lui donne une idée, voulant reproduire ce ...
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