Et Dieu créa la femme !
Datte: 22/07/2022,
Catégories:
cadeau,
candaul,
amour,
Oral
fantastique,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... à la guider, plutôt pour l’accompagner et se sentir encore plus solidaire de ce qui lui arrache ses cris de plaisir.
Et toujours, dès que c’est possible, cet échange de regard. Des yeux qui brillent tout en bas. La bouche abandonne les testicules luisants pour remonter. Les lèvres se posent sur le gland, l’enferment dans sa chaleur humide, puis descendent, remontent, descendent remontent. À chaque mouvement, ce sont quelques millimètres de ce mandrin qui disparaissent un peu plus.
— Oui, pompe-moi. Petite salope. Tu aimes ça ? Hein.
La question ne demande pas de réponse. La « petite salope » a autre chose à faire que de parler et en plus on lui a toujours appris de ne pas parler la bouche pleine.
L’avantage d’être un être immatériel est que ma vision est totale. Rien n’est opaque pour moi.
Je vois le sexe caressé par les lèvres. Sa peau se frotter aux parois de la bouche. Le gland avancer irrémédiablement vers le fond de la gorge, le toucher, se mouler contre lui, se soumettre, s’arrondir pour pouvoir progresser encore, encore un peu.
Les bourses gluantes se frottent au menton de Mamour.
Le temps s’arrête. La queue a disparu. Tous deux retiennent leur respiration.
— Ahhhh.
C’est Chéri qui crie. Il s’est laissé surprendre, comme moi d’ailleurs. Ce n’est pas la peine d’avoir l’omniscience pour ne pas avoir vu.
Oui, vu ce qui se préparait en secret. Le majeur de la main droite de Mamour qui pointait vers l’anus de son amant. Un majeur qui doit ...
... avoir l’habitude tellement il s’enfonce sans résistance dans le cul de l’homme. Voilà pourquoi il a crié.
Ma vue le vois s’activer en de larges va-et-vient comme maintenant les lèvres qui s’activent sur le mandrin raide comme un mat. Le doigt et les lèvres sont « raccords ». L’homme gémit de plus en plus fort. Je perçois dans son corps comme une onde qui se prépare.
— Ahhhhhhhh.
Le doigt s’est figé au plus profond. Il se crispe et je le vois caresser la glande masculine. C’est comme si le doigt avait appuyé sur un bouton. L’onde se transforme en vibrations. Les secrétions se rassemblent en un torrent déferlant. Mamour ne doit pas en être à sa première fois. Les lèvres se sont bloquées au niveau du sillon formant un sphincter quasi parfaitement étanche. Il ne s’agirait pas d’en perdre une goutte ! Le sperme jaillit. Le premier jet heurte le fond de la gorge mais le second est contrôlé par la langue qui le dirige, domestiquant le torrent pour en faire un ruisseau plus contrôlable. Les jets se succèdent. La bouche les accueille pour rassembler le foutre en une « flaque » mobile.
Quelques-unes de vos secondes et Mamour abandonne le sexe qui déjà donne des signes de faiblesse. Il fléchit maintenant vers le sol ayant fait de son mieux pour la jouissance de Chéri. Une jouissance que Mamour conserve précieusement.
Ah, ce regard ! Perversité, vice, plaisir, provocation. Il contient tout cela et c’est comme pour annoncer ce que Mamour s’apprête à faire. C’est dans ces ...