1. Et Dieu créa la femme !


    Datte: 22/07/2022, Catégories: cadeau, candaul, amour, Oral fantastique, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    Je suis un ange, un ectoplasme, un fantôme, une émanation. Mon plaisir c’est de regarder votre monde de mortel, de m’y attarder pour voir comment vous évoluez. Le temps ne compte pas pour moi. Dans une de vos secondes, je peux voir un homme naître, vivre et mourir. Mais parfois je m’attache. Bien que pur esprit, je peux ressentir non pas un sentiment, mais disons un intérêt. Je ne suis pas sexué et pourtant votre sexualité me passionne. C’est fou comme siècle après siècle vous tournez en rond, passez de la pudibonderie totale à une sexualité libérée. Mais jamais vous n’avez, en un seul « espace-temps », affiché l’un et l’autre.
    
    Laissez-moi vous conter l’histoire de l’un d’eux :
    
    C’est un couple comme beaucoup ! Non, ce n’est pas tout à fait vrai, ils sont mariés et de ce fait sortent un peu du lot. Il en faut de l’amour pour se lancer dans cette entreprise surtout lorsque l’on connaît les statistiques du divorce. Ils s’aiment. Ils s’appellent Chéri et Amour en privé, parfois même Mon Chéri et Mamour. Ils sont mignons tous les deux.
    
    — Encore !
    — Quoi encore !
    — Lorsque j’ai ouvert la porte, tu as brutalement refermé ton ordi.
    — Et alors ?
    — Alors, je pense que tu regardais encore un site porno.
    — Mais non, où vas-tu chercher tout cela ?
    — Chéri, ne me mens pas. Si j’ai tort, je le reconnaîtrai, mais ouvre-le et montre-moi.
    — Puisque tu ne me crois pas, fais-le toi-même.
    
    Amour avance, ouvre l’ordi qui redémarre en montrant une vidéo. Aussitôt la pièce se ...
    ... remplit de gémissements, de bruits caractéristiques d’une scène de baise.
    
    — Tu vois, j’avais raison.
    — Je reconnais.
    — Tu n’as pas besoin de cela pour t’exciter. Je suis là, moi…
    
    Amour se montre tendre, s’approche de Chéri, l’embrasse, se baisse pour atteindre le short, le tire, fait apparaître un sexe en demi-élection.
    
    — Tu bandais, mon coquin. Attends, tu vas voir.
    
    Alors Amour s’agenouille et avance vers l’objet de son désir.
    
    Sa main en prend la mesure. En quelques secondes ce qui n’était qu’une tige souple se transforme en bâton vigoureux. L’autre main n’es pas inactive elle descend pour aller « soupeser » les bourses, les flatter, les presser doucement.
    
    — C’est pour qui tout ça ?
    — Pour toi, Mamour, mais il va falloir le mériter.
    — Tu me défies ? Tu vas voir, je suis plus efficace que tes sites de cul…
    — Je sais, Mamour. C’est comme cela que tu m’as conquis. Je me souviendrai toujours de notre première rencontre où tu m’as montré ton talent…
    
    Le regard que s’échangent les amants est chargé de sensualité. Ils sont libres par leurs actes et par leurs paroles. Mais après les paroles, les actes.
    
    La langue est un serpent qui entoure le gland, s’attarde sur le frein, explore le sillon puis descend lentement en s’appuyant sur la peau souple abandonnant un sillon de salive luisante. Les couilles sont des fruits que la bouche brûlante aspire un par un et suce avec gourmandise et délicatesse.
    
    L’homme gémit. Il pose ses mains sur la tête, mais sans chercher ...
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