1. Clarisse, mère au foyer (2)


    Datte: 19/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... mariage ?
    
    — Je me vois ne plus vivre que pour vous servir, mon Maître.
    
    — Oublie la soumission un instant, je suis très sérieux là.
    
    — Si c’était du domaine du possible, je verrais bien nos deux appartements ne plus en faire qu’un.
    
    — Ça, c’est dans mes cordes. Mais pour toi et moi, les enfants.
    
    — Pour mes enfants, je voudrais que tu les adoptes. Ils sont si vivants avec toi, remplis de joie. Je sais que tu feras un bon père, tu me l’as déjà si souvent démontré. Pour moi, ce serait ne plus être que ta docile servante. Je ne veux plus que ça !
    
    — Ma douce, pour les enfants, faudrait déjà en discuter avec leur père.
    
    — Lui, ce connard, il peut bien aller se faire pendre. Il n’y jamais rien fait pour eux. Et puis je ne vais pas lui laisser le choix, c’est ça ou rien.
    
    — OK, je suis partant. Je les aime trop nos enfants.
    
    — T’es un amour. Si tu me déchirais mon cul, mon vilain pervers.
    
    Dans la neige, agenouillée sur sa veste, nue, elle sent rapidement son anus se faire dilater et ma queue de venir remplacer mes doigts qu’elle lèche avec amour. Quand elle hurle son orgasme, je me sens des ailes. Je lui clame mon amour immodéré, sans faille, de tous les instants. Je lui crie encore que jamais plus je ne serais brutal envers elle.
    
    De retour au chalet, couchée sur mes cuisses, elle fait infuser notre thé. Je caresse sa croupe aussi super que provocante. Je ne me lasse pas de son corps. Je crois même que je pourrais, si mes forces me le permettaient, ...
    ... l’aimer jour et nuit, sans discontinuer. Aimer comme j’aime Clarisse, il n’y a eu qu’une femme, Véronika. Jour après jour, soumise, j’use et abuse de son corps. Si je ne la fouette plus avec violence, c’est juste pour attiser ce feu en elle, la faire jouir de mes vicieux supplices. J’ai rangé la brutalité au placard de ce chalet et je compte bien l’y abandonner.
    
    Tout ne serait que parfait si la vie ne nous rattrapait pas de temps à autre. De retour chez moi, les enfants jouent dans le salon. Clarisse est en course, je suis de garde si je puis dire. Je ne ressens plus ce manque en moi, celui d’être un jour père. Je sais que Clarisse désire un enfant de moi, je le veux aussi, mais après notre mariage. Ou alors, que l’enfant naisse et soit baptiser le jour de notre union. Oui, ce serait une merveilleuse journée dans ce cas.
    
    — Tu réfléchis à haute voix mon amour.
    
    — Hein ! C’est toi, ouf. Tu disais quoi ?
    
    — Que tu rêvais à haute voix en voulant baptiser notre enfant le jour de notre mariage. C’est vrai que ce serait magnifique et merveilleux. Attends que je compte, aout, c’est dans quoi, un peu plus de six mois. Ben là, je ne sais pas comment te le dire.
    
    — Quoi donc ?
    
    — Ben que si mon gynéco ne s’est pas planté, on baptisera ton fils en aout.
    
    — HEIN !!!! T’es en cloque, tu... oh putain... dis-moi que j’ai bien entendu là !!!
    
    — Mon amour, je suis enceinte de trois mois et demi. C’est un garçon et il semble déjà vouloir te ressembler.
    
    — Ma chérie, t’es... je ...
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