1. Clarisse, mère au foyer (2)


    Datte: 19/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... sa bouche se pose sur ma queue. Je ne suis tranquille dans ma tête qu’au moment de jouir dans sa bouche. Elle prend alors mon verre de bière, y trempa mon auriculaire, l’effet est immédiat, dans sa bouche, je me soulage, elle me boit jusqu’à la dernière goûte.
    
    — J’ose espérer que mon Maître aime sa salope. Parce que sa salope aime quand le Maître se montre sale avec elle. Sachez que le slip du Maître oublié chez moi me sert de bâillon quand je me fouette de mon martinet, le soir.
    
    — Alors vas le chercher, ton martinet.
    
    — Avec grand plaisir, Monsieur. Monsieur, dois-je prendre des bougies afin de me couvrir de cire brulante ?
    
    J’ai accepté. Elle revient aussi vite qu’elle était partie. Elle se positionne à genoux, le corps bien droit, ses bras levés vers le plafond. De son martinet, je rougis sa poitrine, son ventre. Elle se mord ses lèvres à chaque coup. Parfois, elle ferme les yeux, comme pour mieux sentir la brulure des lanières. Je lui donne ma queue à sucer. Penchée en avant, je zèbre son dos de ce martinet. Plus je frappe, plus elle gémit, la bouche remplie de mon chibre. Puis d’une bougie allumée, je répands cette cire brulante sur son dos, ses fesses et entre ses fesses. La belle remue du croupion, cela rend la chose plus bandante encore. Surtout, cela me donne l’idée de transformer une de mes trois chambres en salle de supplice.
    
    C’est la toute première fois que je me montre aussi violent avec Clarisse et elle aime ça autant que mon cœur commence ...
    ... sérieusement à battre très fort pour elle. Je jouis encore, je la redresse, délaissant son martinet. Je l’embrasse tendrement.
    
    — Outre les anneaux, je te veux entièrement à moi et y pire que tes anneaux, il y a un mariage.
    
    Je respirais un moment en l’observant. Et j’enfonce définitivement le clou. « Avec les fêtes qui arrivent. On va aller chez mes parents, avec tes enfants. Eux, on va les pourrir de cadeaux. Toi, je vais pourrir ton cul avec ma queue. J’en profiterais pour clouer le bec à ma famille en annonçant notre mariage pour l’été prochain. Tu as quelque chose à redire ? »
    
    — Non, Monsieur, surtout pas, je suis à vos ordres. Il me plaît déjà de ne plus appartenir à personne d’autre que vous, Maître.
    
    Ses mains masturbent encore doucement ma queue. Je la couche sur le dos et m’enfonce en elle, tendrement, cette fois. Oui, je ne l’ai pas baisée, je l’ai Aimée.
    
    On dort ensemble, sans qu’elle ne soit entravée d’aucune manière que par mes bras. Au matin, je me lève avant elle. Je lui prépare un déjeuner digne d’une princesse. C’est la seule et unique fois que j’ai dû préparer un repas pour ma soumise.
    
    — Monsieur, il n’est pas digne que mon Maître me fasse à manger !
    
    Qu’elle me reproche.
    
    Elle reçoit une copieuse et douloureuse fessée à la main. Je la fesse si durement qu’elle ne pourra s’assoir ailleurs que sur un moelleux coussin et encore, en faisant une vilaine grimace.
    
    Noël arrive. Dans mon break américain, on charge tout. Sur la route, malgré une ...
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