1. Clarisse, mère au foyer (2)


    Datte: 19/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... gamine puérile ?
    
    Me lance ma tante, elle a mon âge à quelques mois près.
    
    — En fait, je te voyais pire encore, comme une gosse pourrie par son père. Je te vois toujours comme celle qui nous a pourri nos vacances par ses caprices de gamine gâtée.
    
    — Et cette jeune soubrette, elle est à toi depuis quand ?
    
    — Un peu moins d’un an. Le fruit du hasard, un accident domestique pour tout dire. Mais cela ne te regarde pas. Cousine, tu me déçois beaucoup !
    
    — Elle est magnifique et très docile. Ma pute devrait en prendre de la graine. Ça fait six mois que je la dresse. Tu sais qu’elle crèche chez moi, elle veut devenir vétérinaire en plus.
    
    Décidément, ma tante a bien changé. Si elle est toujours aussi hautaine, avec manière de parler de la haute. La voilà en plus vulgaire, utilisant des mots crus quand elle parle de ma cousine.
    
    — Non seulement elle est magnifique, elle est une soumise particulièrement docile et qui sait parler sans être vulgaire comme toi. La cousine, tu devrais lui apprendre à ne pas interrompre un dominant durant sa promenade sans se présenter et s’excuser.
    
    Je me montre très autoritaire avec ma tante.
    
    Elle ne sait que répondre. Je prends la laisse de ma soumise et continue notre promenade en sa compagnie sans me retourner. Derrière moi, le bruit d’une paire de gifle ne me fait même pas tourner la tête. Isabelle, la jolie tantine, doit être terriblement vexée de me voir si impassible. Elle nous rejoint, traînant ma cousine Karine derrière elle. ...
    ... Je m’arrête net quand elle me parle de faire une partie de jambes en l’air, tous les deux.
    
    — Déjà, je ne parle jamais à des femmes qui se la pètent, qui se prenne pour une autre. Secundo, une femme qui domine n’a pas à se comporter comme une soumise, c’est juste qu’elle manque de caractère. Tu imites les autres et tu n’es pas toi quand tu gifles ta nièce, ma cousine. En fait, je la verrai bien te punir et te dominer.
    
    Je prends mon temps pour voir sa réaction. Et, comme à mon habitude, j’enfonce le clou. « Tu vois, avec elle, je n’ai pas cherché, elle ne m’a pas cherché, on s’est juste trouvé à cause de ce petit accident domestique. Par contre, pour toi, je suppose que le simple fait de l’abriter chez toi pendant qu’elle étudie fait de toi sa Maîtresse ? Mouais, à voir ta tronche de cake, j’ai vu juste. Karine, si tu te cherches une autre Maîtresse digne de ce nom, ou une Maître, ce n’est pas avec une soumise dans l’âme que tu vas trouver ton bonheur, bonne nuit et joyeux noël ! »
    
    On est rentré se coucher. Dans mon lit, je presse le corps de Clarisse contre moi. Elle replie ses jambes, mon pénis s’insinue entre ses cuisses, bien en profondeur.
    
    Au matin, Clarisse aide ma mère pour le déjeuner des enfants. La petite me voit et nous crie tout de go : « Papa ! » Je reste interdit, ne sachant comment prendre cela. Enfin, revenu de ma surprise, je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement. Ma mère ne trouve rien de mieux que de pleurer, mais de joie. Je suis aussi ...
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