1. Clarisse, mère au foyer (2)


    Datte: 19/07/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Un jour, près de huit mois plus tard, elle débarque dans mon appartement, un soir, après avoir couché ses enfants. Elle se met à genoux devant mes pieds, se penche en avant, tel un sphinx.
    
    — Monsieur, il me plairait de vous appartenir pour toujours.
    
    — Mais tu es à moi !
    
    — Oui, je le sais, je vis cette appartenance à chaque seconde qui passe et j’aime ça. C‘est que je vous aime pour tout vous dire. Seulement, il me manque quelque chose, ce petit quelque chose qui fera de moi votre pute encore plus docile.
    
    — Et c’est quoi ?
    
    — Des anneaux, Monsieur. Aussi, je vous demande humblement à me faire anneler.
    
    — L’idée est bonne. Où veux-tu porter des anneaux ?
    
    — Sur mon sexe, trois, un par grande lèvre, un sur le capuchon de mon clitoris. Il y a mes seins, un par tétons. Monsieur pourra ainsi me suspendre par ces anneaux. Enfin, un dernier, à mon nez, pour que Monsieur puisse me promener en laisse.
    
    — Je suis d’accord, mais as-tu la moindre idée du cout ?
    
    — Je possède quelques économies qu’il me serait aisé d’utiliser pour ça, Monsieur. Et puis, je travaille le cuir de manière artisanale, cela me permet d’améliorer notre ordinaire. Mon martinet est un exemple de mon travail.
    
    Je pose mon pied sous son visage, elle me le lèche, me le suce avec une dévotion qui en aurait fait pâlir bien quelque soumis. Jamais femme ne m’avait été plus dévouée, plus docile que Clarisse. Puis, elle passe à l’autre pied. Cette fois, le corps bien droit, tenant mon pied entre ses ...
    ... douces mains. Je fixe son visage, m’imaginant son nez annelé. Je me vois faire nos courses, le tenant en laisse, poussant son landau et tenant son fils par la main. Sauf que, ben, dans mon quartier, ma réputation d’homme bien sous tous rapports en prendrait un sérieux coup. Je me vois alors, la promenant encore en laisse, sauf qu’elle est fixée à son sexe cadenassé ou à celui de son clitoris. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour voir ces images venues du fin fond de ma tête de pervers. Lentement, inexorablement, sa bouche remonte le long de mes jambes, passant d’une à l’autre. Je bande ferme. J’ai envie de ce corps et pourtant, si l’envie est forte, je la laisse faire.
    
    Je dois me faire violence pour ne pas la retourner et la prendre comme un chien baisant sa chienne.
    
    — Si tu devais me donner une partie de ton corps ?
    
    — Ma bouche, mon Maître, afin de pouvoir vous sucer dès votre réveil, être toujours là à la moindre érection du Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi, le comment si ce n’est que c’est pour votre plaisir, Monsieur mon Maître.
    
    — Ce ne serait pas désagréable, en effet.
    
    Alors, mon imagination devient encore plus fertile en perversité. Il me semble que je sens cette bouche, sa langue nettoyer mon cul, mon chibre à tout instant de la journée. J’imagine des choses peu ragoutantes et je bande encore plus fort. Je ne tiens pas plus longtemps. Je prends sa tête de mes mains et ...
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