Moi paysanne maîtresse du sexe (1)
Datte: 17/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... pénible que le travail à la ferme. Nous passons devant le champ, je fais des grands signes à Jules, mais il ne me voit pas.
— C’est qui ce garçon ?
— Mon grand frère.
— Tu veux lui dire au revoir, je présume.
— J’aimerais bien.
Elle fait arrêter la calèche, je me précipite vers Jules, je lui saute dans les bras.
— Qu’est-ce qu’il y a petite sœur ?
— Je quitte la ferme, je suis maintenant au service de la dame que tu peux voir dans la calèche.
— C’est quoi cette histoire, viens.
Il se dirige vers la calèche, j’ai peur qu’il ne s’énerve.
— Calme-toi Jules, elle a l’air gentille.
— Ne t’en fais pas, je veux juste la connaître.
Je vois que la dame nous regarde arriver, elle a un grand sourire quand nous arrivons, Jules la regarde calmement.
— Bonjour madame, Marie va être à votre service, c’est ça ?
— Oui mon garçon, elle va travailler pour moi.
— J’espère que vous serez correcte, car si je la sens malheureuse, je viendrais vous demander des comptes, vous savez que la révolution est passée par là.
— Je pense qu’elle sera très heureuse chez moi, je soigne bien les personnes qui travaillent pour moi. En tout cas, elle a de la chance d’avoir un frère comme toi, je t’invite à venir la voir quand tu voudras pour t’assurer que tout va bien.
— Soyez sûre que je n’y manquerais pas madame.
Il m’enlace très fort, me fait deux grosses bises et me fait remonter dans la calèche.
— A bientôt petite sœur chérie.
La calèche démarre ...
... immédiatement.
— Tu as de la chance Marie, j’aurais bien aimé avoir un frère comme le tien, il t’aime et te protège.
— Vous avez un frère.
— Non, je n’ai pas de frère, je suis fille unique, c’est le grand regret de ma vie, j’aurais aimé en avoir un, je ne sais pas trop pourquoi, peut-être pour me sentir protégée.
Elle rigole en me regardant. La seule chose qui me rend triste, c’est que je ne vais pas pouvoir faire mon cadeau d’anniversaire à mon frère chéri. Je voulais m’offrir à lui pour qu’il prenne mon pucelage, c’est pour moi le seul homme qui le mérite. Ça aurait été le plus beau cadeau pour sa majorité. Nous roulons sur les chemins chaotiques de la région pendant presque une demi-heure pour arriver dans le château d’un village. Je la regarde, ébahie.
— Eh oui ma petite, je suis la nouvelle propriétaire du château de Belvoir, et mon mari en est le gérant, il va s’occuper de faire les réparations qui s’imposent. C’est là que tu vas vivre maintenant avec nos servantes. J’ai besoin de personnel pour me servir, ton père est d’accord, mais rassure-toi, tu seras nourrie, habillée, logée, payée, tu auras un franc par semaine.
Un franc par semaine, une fortune, je n’ai jamais eu qu’un franc une fois pour mon anniversaire l’année dernière.
— Merci madame.
— De rien ma petite, nous sommes dans une société moderne, l’empereur est en train de transformer la France en un pays qui avance après le règne de ces salopards de rois divins et cette fantastique, mais ...