Moi paysanne maîtresse du sexe (1)
Datte: 17/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... cherchait les chatouilles.
— Je peux toucher ton abricot, je veux voir s’il est aussi mouillé que le mien.
— Bien sûr, moi aussi je veux savoir.
Je porte ma main sur son abricot, il est comme le mien, elle pose sa main sur le mien, j’en ressens une onde encore plus forte que d’habitude.
— Toi aussi c’est plus fort ?
— Oui, continue.
Nous nous touchons l’abricot jusqu’à ce que les chatouilles envahissent nos corps, c’est plus intense que d’habitude. Nous avons pris l’habitude de nous toucher mutuellement pour avoir des chatouilles. Un jour, elle me dit être gênée par sa robe, elle l’enlève ainsi que son jupon et sa culotte. C’est la première fois que je vois une femme nue, j’en ressens un trouble qui m’étonne.
— Je crois que c’est comme ça qu’il faut être quand on cherche les chatouilles, c’est comme ça que je me mets le soir dans mon lit.
— Moi, je ne peux pas, je dors avec tout le monde, je dors avec ma robe.
— Moi, je dors dans la chambre de ma grande sœur, elle fait comme moi.
— Tu as de la chance.
— Fais comme moi.
Je me déshabille comme elle, nous sommes toutes les deux nues. Notre séance de chatouilles a été très intense, depuis ce jour, nous nous sommes toujours déshabillées pour nous faire faire des chatouilles. Mais un jour, son père a décidé qu’elle devait travailler ailleurs, elle est partie dans une grande maison. Depuis, je le fais tous les soirs dans mon lit où je reste habillée et parfois dans la journée quand je suis ...
... seule et que j’ai quelques minutes devant moi, en haut de la grange, derrière les bottes de foin, je peux me déshabiller sans être vu. J’adore cette sensation.
Jules revient, il n’est pas seul, il a amené deux ouvriers avec lui, je ne comprends pas pourquoi.
— Il faut que tu ailles tout de suite à la ferme, le père veut te voir c’est urgent.
— Tu sais ce qu’il veut ?
— Non, mais dégrouille-toi.
Je retourne à la ferme d’un pas accéléré, quand j’arrive, il est avec une jeune bourgeoise très belle que je ne connais pas. Mon père vient vers moi.
— Marie, tu suis madame, tu es maintenant à son service, va faire tes adieux, pas la peine de prendre des affaires. Allez, dépêche-toi, je veux te voir ici dans cinq minutes.
Je ne dis rien, les filles n’ont pas leur mot à dire, elles obéissent. Je vais embrasser ma mère qui pleure, mon grand-père qui parait très triste, Justine qui travaille avec nous depuis toujours, je me précipite vers mon père. Il discute avec la femme. Quand j’arrive, elle fait demi-tour et se dirige vers une calèche ouverte.
— Suis-moi.
Sa voix est douce, mais autoritaire, je sens que je ne dois pas moufter, elle a un léger accent que je n’arrive pas à déterminer. Je la suis, elle me montre la place en face d’elle, je m’y installe. Mon père me regarde, j’ai l’impression qu’il est un peu triste. Je sais, il m’a pratiquement donnée à cette femme pour que je la serve, mais je suis sûre que c’est pour mon bien et que ça va être beaucoup moins ...