Moi paysanne maîtresse du sexe (1)
Datte: 17/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
Bérangère
— Allez Marie, il faut finir avant ce soir, il ne reste pas grand-chose.
— Je fais ce que je peux, je ne suis qu’une femme.
— Oui, mais tu es ma sœur, et ma sœur, elle travaille comme un homme.
— Sauf qu’elle s’appelle Marie ta sœur, pas Jules comme toi, et mes muscles sont des muscles de Marie.
— J’adore quand tu t’énerves petite sœur chérie, ne t’en fais pas, je finis.
Nous sommes dans le plus grand champ de la ferme de mon père, nous sommes à Montigny lès Cherlieu, à côté d’une énorme abbaye que les villageois démontent pour construire leur maison. Le village se construit avec les pierres de l’abbaye, dont la maison de mes parents. A regarder le soleil, il est deux heures de l’après-midi, on doit finir de rentrer le foin de l’année, encore deux charrettes après celle-là et c’est fini. Je me démène, mais j’ai chaud, mon corps dégouline de sueur sous mes vêtements, il fait plus de trente degrés en cette fin juillet. La récolte a été bonne, abondante et de bonne qualité, le printemps a donné juste l’eau et le soleil qu’il fallait et l’été le soleil pour bien le faire pousser et le sécher une fois coupé. Les vaches vont être bien nourries cet hiver. La manipulation de la fourche pour charger la charrette me casse le dos, je suis complètement épuisée.
Heureusement que Jules, mon grand frère est là, il travaille bien plus vite que moi, il faut dire qu’à vingt et un ans dans deux jours, il est en pleine possession de ses moyens. Je lui ai réservé ...
... une surprise pour l’anniversaire de sa majorité, un cadeau dont il se souviendra toute sa vie j’espère. Il n’a que deux ans et trois mois de plus que moi, je suis née le vingt-huit octobre et lui le trente et un juillet. Seulement, il se considère comme mon protecteur, personne n’a intérêt à m’emmerder, les seuls qui l’ont fait quand j’avais douze treize ans s’en souviennent encore.
La charrette repart avec Jules et les bœufs, il va mettre presque une heure à faire l’aller-retour à la ferme, j’ai le temps de récupérer un peu. Je vais m’allonger sous un arbre, je soulève ma lourde jupe et mon jupon, j’aère mes jambes. Ça me fait du bien, mais ça me titille un peu le berlingot, je ressens une drôle de sensation que je connais. Je laisse ma jupe et mon jupon sur le haut de mes jambes, je suis bien. Je somnole un peu, je suis confortablement installée là, à l’ombre de cet arbre, mais la drôle de sensation persiste, et je sais comment faire pour la calmer. Ma main remonte un peu plus ma robe pour finir sur mon abricot, cette sensation me donne envie de sentir les grandes chatouilles qu’il me donne quand je le caresse. Mon doigt bouge sur le bouton que j’ai en haut de mon abricot et au bout d’un petit moment, comme d’habitude, une onde se forme dans mon bas-ventre, elle envahit tout mon corps qui d’un seul coup se transforme en gigantesque feu d’artifice.
J’adore cette sensation, je ne sais comment elle peut me donner autant de joie, mais je sais comment la faire apparaître. Je ...