Moi paysanne maîtresse du sexe (1)
Datte: 17/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... le fais souvent, en général le soir dans mon lit, à côté de celui de mes parents et de mon frère. C’est ma cousine Germaine qui m’a montré comment faire il y a six mois un jour dans la grange de la ferme de son grand-père. Nous étions montés sur les meules de foin pour nous amuser, on faisait ça depuis toutes petites, d’un seul coup, elle s’est arrêtée et m’a regardée.
— Tu sais comment on peut se faire faire des chatouilles ?
— Oui, tu veux que je te chatouille ?
— Non idiote, pas celle-là, les chatouilles du corps.
— C’est quoi ça les chatouilles du corps ?
— D’accord, tu ne connais pas, fais comme moi.
Elle défait sa robe et enlève son jupon qui tombe sur le foin, je peux voir les poils de son abricot dépasser dans la fente de sa culotte.
— Allez, ouvre ta robe et enlève et ton jupon et fais comme moi, exactement les mêmes gestes.
Je l’imite, je défais ma robe et enlève mon jupon qui suit le même chemin que celui de Germaine, mais moi, je n’ai pas de culotte, maman ne veut pas m’en acheter, trop cher. Elle fait descendre sa culotte, pose sa main en haut de son abricot, je la regarde, médusée, je vois pour la première fois sa touffe de poil, comme la mienne.
— Tu fais quoi ?
— Vas-y, fais comme moi, tous les gestes, tu vas voir, c’est super.
Je pose ma main sur mon abricot, je vois qu’elle rabat ses poils et écarte les deux côtés pour dégager le haut, je fais pareil. Elle pose un doigt de l’autre main sur un petit bouton, tout en haut. Je ...
... l’imite, c’est à ce moment-là que j’ai senti une drôle de sensation que je n’avais jamais ressentie. Elle fait bouger son doigt sur le bouton, je fais pareil. Au début, je ne ressens pas grand-chose, mais c’est quand même agréable. Doucement, une sorte de boule se forme juste derrière le bouton, elle augmente petit à petit. Machinalement, mon mouvement accélère, au bout d’un moment, tout mon corps se raidit, il est envahi par cette onde qui finit par le faire exploser dans une sorte de béatitude infinie. Mes jambes me lâchent, je tombe à genoux, mais mon doigt continue son mouvement. Mon corps fait des mouvements brusques que je ne peux maîtriser. Petit à petit, mon corps se détend, je ralentis mon mouvement jusqu’à l’arrêter.
Je me laisse aller sur le dos, je veux profiter de ce moment de bonheur infini le plus longtemps possible. Germaine doit avoir ressenti la même chose, elle est sur le dos, les yeux fermés avec un merveilleux sourire aux lèvres. Elle tourne la tête vers moi.
— Tu as senti ce drôle de truc dans ton corps ?
— Oui, très bien.
— Ça t’a plu ?
— C’est incroyable, qu’est-ce que c’est ?
— Je ne sais pas, mais à chaque fois que je fais ça, je ressens cette merveilleuse sensation de bonheur, j’appelle ça des chatouilles.
— Tu le fais souvent ?
— Tous les jours au moins une fois.
Depuis, nous avons répété ça le plus souvent possible. Un jour, n’y tenant plus, j’ai voulu voir si l’abricot de Germaine était aussi mouillé que le mien quand on ...