1. Eloïse


    Datte: 20/08/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, poilu(e)s, plage, caférestau, collection, amour, volupté, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, init, portrait, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... donnèrent le vertige, me mettant le corps en feu, le cœur au bord des lèvres. Il me fallut toute mon énergie pour retenir une nouvelle montée de plaisir et arriver à la faire changer de position… pour m’attaquer à l’arrière de sa personne.
    
    Je m’accrochai à ses hanches merveilleuses, et mon sexe put ainsi pointer devant l’entrée de son petit trou. D’une main tremblante, elle le guida et l’aida à parfaire sa pénétration. Alors, ce fut à mon tour de mener une sarabande endiablée dans ce couloir étroit pour nous amener à un plaisir réciproque qui nous laissa pantelants et hors d’haleine. Bien plus tard dans la nuit, après avoir «remis le couvert», après qu’elle m’eût absorbé jusqu’à la dernière goutte et laissé « pour mort», nous nous sommes endormis emboîtés l’un dans l’autre, ses fesses chaudes encore sous l’effet des spasmes de son plaisir.
    
    Le lever fut bien difficile ! Zombies somnolents, nous nous sommes rapidement séparés, chacun devant vaquer à ses occupations quotidiennes, les miennes étant peuplées du doux souvenir de cette épuisante nuit et de l’espoir de retrouver Eloïse, le soir venu, attablée dans «notre» café favori.
    
    Dire que je bâclais un peu les derniers dossiers de l’après-midi, avant que l’horloge de mon bureau n’indique l’heure de ma libération, dire que la journée m’avait paru longue, serait l’exacte vérité. Mes pensées avaient été obsédées par le corps affriolant d’Eloïse. Même la vue de ma secrétaire, pourtant jolie jeune plante dont la seule ...
    ... apparition matinale dans mon bureau égayait habituellement mes journées, n’avait rien pu changer. Au contraire, j’avais passé une partie du temps consacré à lui dicter de rébarbatifs courriers, à la détailler et à la comparer avec Eloïse. S’était-elle aperçue d’un changement d’attitude à son égard, de mes regards plus appuyés ? Quoi qu’il en soit, ce n’est qu’après coup que je me rappelai qu’elle n’avait eu de cesse, ce matin-là, de croiser et décroiser ses jambes gainées de bas gris, remontant sa courte robe haut sur ses jolies cuisses charnues. Elle n’avait eu de cesse de remonter ses épaules pour mettre en valeur sa poitrine, nettement plus petite que celle d’Eloïse et, chaque fois que nos regards se croisaient, elle avait passé sa langue rose sur ses lèvres fines et rouges, pour en rehausser l’éclat et les rendre plus voluptueuses, plus excitantes. Mais, ce matin-là, il me semble qu’elle aurait pu se présenter nue devant moi, je ne suis pas certain que je l’aurais remarqué ni que cela m’aurait fait quelque effet.
    
    Alors, tant pis pour ma pauvre secrétaire qui en fut pour ses frais. De toute façon, elle avait beau minauder, au travail je ne mélange jamais vie sentimentale et vie laborieuse, c’est un principe auquel je ne déroge pas, et peu me chaut si certains pensent que je perds là plus que je ne gagne en tranquillité. À pas pressés, bousculant presque les autres piétons, je me hâtai vers le café où j’avais mes habitudes pour m’y engouffrer et constater qu’Eloïse n’était pas ...
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