1. Eloïse


    Datte: 20/08/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, poilu(e)s, plage, caférestau, collection, amour, volupté, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, init, portrait, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... nous avons même failli rater l’entrée de mon immeuble. Dans le poussif ascenseur, nous avons repris notre embrassade et mes mains, indiscrètes et fébriles, ont enserré sa taille, pétrissant tendrement ses chairs enveloppées des lourdes barrières vestimentaires.
    
    Alors, notre séance de déshabillage fut plus que simplifiée et nos vêtements eurent vite jalonné le chemin entre la porte du vestibule et la chambre. En réalité, quand nous nous sommes étendus sur le lit, nous étions déjà nus, l’un et l’autre. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai pu prendre un peu plus de temps pour détailler des yeux, de la bouche des mains, le corps d’Eloïse. Son cou, long et gracile, est en parfaite harmonie avec ses épaules et ses deux magnifiques seins, accrochés haut, dont les bouts ocres et pointus se redressent fièrement. Sa peau satinée luisait alors d’un léger voile de chaleur. Sa poitrine se soulevait déjà avec quelque difficulté et impulsait son rythme à son ventre plat qui se creusait sous les premières vagues du désir. En son milieu, la marque indélébile de l’ombilic forme une large dépression oblongue dans laquelle ma langue est allée fouiller loin, et où j’aime à humer les traces de son lourd et capiteux parfum. Plus bas, une toison brune, drue et touffue, marque l’entrejambe. Naturelle et non apprêtée, elle cache deux larges lèvres, grasses et luisantes, épaisses et entrouvertes sur le secret de son intimité. Entre elles, du bout des doigts puis de la langue, je découvris un ...
    ... minuscule bouton, rose tendre, presque blanc, diaphane. Mes premières caresses sur ce tout petit bout de chair déclenchèrent de longs rugissements de bonheur dont mes doigts reçurent la rosée.
    
    Nous étions couchés tête-bêche, Eloïse aspirait mon sexe dur et tendu et s’évertuait à l’avaler au maximum, jouant de sa langue, de sa bouche, de ses dents et même de sa gorge pour m’exciter et tenter de me faire déborder en elle. Ensemble, nous avons largement joui dans la bouche l’un de l’autre et, sans laisser de temps mort, nous avons repris nos lutinages pour, à nouveau, exacerber notre désir. Pour ce faire, j’avais agrippé les fesses d’Eloïse et les empaumais, les écartant pour faire surgir une large rondelle brune aux multiples stries. Une large cuvette se formait alors, s’ouvrant et se fermant au gré de mes effleurements. De temps en temps j’y dardais la langue, ce qui déclenchait chez ma partenaire de nouveaux spasmes de plaisir, ou j’y vrillais un index fouineur, ce qui lui arrachait de vrais hurlements de jouissance.
    
    À bout de souffle, prête à exploser une nouvelle fois, Eloïse me renversa en travers du lit pour me surplomber et s’empaler sur mon sexe dressé et sensible. Elle cala ses fesses sur mes cuisses, son intimité luisante largement écartelée devant mes yeux, et cette cicatrice rose pâle épousait idéalement mon sexe. Sans bouger, elle se mit à me masser par de formidables contractions des muscles du ventre, avant d’entamer une série de montées et descentes qui me ...
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