1. La nièce


    Datte: 07/07/2022, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, fagée, religion, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, Humour contes, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... couvercle, finissant ce que j’ai interrompu hier soir.
    — Alors dans ce cas-là, à table, j’ai grand-faim.
    
    Pendant le repas, le chef du diocèse amena le sujet sur sa nièce et son désir de vivre un été à la campagne.
    
    — J’en serais très honoré, mais vous connaissez la faible qualité du matériel épiscopal si cela dégénère ! J’aimerais un crédit spécial pour acheter du solide.
    — Oui, pas de problème, mais j’aimerais bien que vous me la débourriez, car après, je l’hébergerai dans ma demeure et j’aimerais bien qu’elle soit déjà bien au fait de ce genre de plaisir.
    
    La nièce
    
    Arrive le temps de l’été, avec les vacances universitaires, amenant du coup l’évêque et sa nièce pour un hébergement dans la cure de Gnancucu. Louise a mis les petits plats dans les grands et présente une daube du meilleur aloi.
    
    — Voilà ma nièce, je vais te laisser entre les mains d’Ildéfonce et de Louise, j’espère que tu vas te plaire, c’est vraiment la campagne en profondeur.
    — Oh ! Oui, mon oncle, c’est gentil d’avoir organisé ce séjour, cela remplit tous mes rêves.
    
    Une fois la voiture partie, se pose la question du logement, il n’y a que deux chambres, celle de la bonne et celle du curé, laquelle a un grand lit pour permettre à la gouvernante de temps en temps venir tenir le curé au chaud, surtout en temps d’hiver.
    
    — Voilà comment on va faire, je vais prendre le lit à Louise et vous allez coucher les deux dans mon lit. Je ne vois pas d’autres solutions, fait Ildéfonse d’un air ...
    ... angélique.
    — Comme d’habitude, le plus gros du travail me reste, râle Louise devant la décision d’Ildéfonse de lui laisser le travail d’approche, toujours très délicat dans ce milieu religieux.
    — Mais je t’aiderai pour changer les draps, lui répond Jasmine… Dis-moi, Ildéfonse, c’est vrai que tu étais prêtre-ouvrier au Canada avant de venir ici ?
    — Oui, c’est bien vrai, mais j’ai été obligé de le quitter à la demande de l’évêque, je lui faisais de l’ombre.
    — Ainsi, c’est vrai ce que me disait mon oncle que tu as été muté à cause d’une affaire de mœurs ?
    — Oui et non, c’est vrai que pendant que nous étions en débardage, souvent je rentrais au village le samedi pour faire la messe le lendemain tôt le matin et je recevais les confessions le samedi après-midi ou le soir. Suite à cela, beaucoup de villageoises, quelque peu délaissées par leur conjoint, qui préféraient aller courir la gueuse plutôt que de venir faire leur devoir conjugal, me demandaient un soutien, soutien qui s’est peu à peu transformé en autre chose. J’ai fini par avoir, ce que j’ai appris plus tard, la réputation d’être un bon coup. Il faut dire que ce n’était pas trop difficile avec ces rustres qui rentraient et sautaient sur leur épouse sans se laver, ni gentillesse. Ceci a rapidement fait de l’ombre au vicaire qui avait perdu son statut de bon coup à cause de moi. Sa Seigneurie au Canada a demandé mon rappel en Europe alors que j’en étais qu’à mon deuxième hiver, bien qu’il en fût prévu quatre.
    — À ce moment-là, ...