Dix ans déjà (1)
Datte: 03/07/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... seins caressés une fois de plus, je savais que les pattes qui s’en occupaient, c’était celles de mon mari.
Je n’aurais pas su identifier le possesseur de la queue qui venait folâtrer avec mes lèvres. Pour celle de mon homme, je pourrais la reconnaitre, encore que je n’en fusse plus si certaine. Et lentement je sombrais dans une sorte de délire sexuel où tout me paraissait presque normalisé. Quoi de plus naturel que ces six pattes de mâles qui se lovaient partout sur moi, voire depuis un instant, en moi. Et après tout, puisque ça faisait bander, monsieur mon mari, je n’allais pas être plus royaliste que le roi lui-même. Donc je tendais la menotte à la rencontre de la bite de mon cher et tendre.
Là où il se tenait, je pouvais être certaine que c’était la bonne. Et celui qui se coulait entre mes cuisses avait un savoir-faire délicieux. Ma situation devenait intenable. Mes premiers gémissements intervenaient alors que je masturbais l’auteur de cette situation. Ensuite, le reste se déroulait dans une sorte de brouillard. Tout devenait flou et dans ma tête plus rien ne s’interposait pour interdire quoi que ce soit. Chacun m’avait pris, au gré de leur fantaisie et bien préparée comme je l’étais, tout coulait de source. Je n’aurais su dire qui faisait quoi, pas plus que depuis combien de temps duraient ces assauts envoutants.
Je n’avais d’autres souvenirs que mes longues plaintes, pas vraiment de douleur. Juste un grand, un immense orgasme qui revenait sans cesse en me ...
... propulsant de plus en plus vers une perversité dont je ne me savais pas capable. Et je recherchais toute seule un sexe à sucer ou cet autre à masturber. Quand nous nous étions tous retrouvés au sol sur la moquette, pour avoir plus de place et surtout pour effectuer des figures plus libres, je n’avais même pas regimbé. Trois hommes pour moi, un incroyable festival qui me permettait d’un coup de savoir ce que le mot jouir pouvait receler de subtilités.
La semence de l’un ou de l’autre me coulait tantôt sur les fesses, parfois sur les seins, mais le seul qui s’épanchait dans ma bouche avait pour prénom Marian. Et pour m’en faire vraiment profiter, il avait d’un coup arraché mon bandeau. Franck s’activait dans ma chatte, alors qu’allongée sur lui je criais en finissant de lécher les dernières gouttes de sperme. Ilan lui se masturbait lentement, mais sentant que lui aussi allait en finir, il était venu derrière moi et je pressentais d’un coup une pression sur cette dernière voie de libre. Lentement, sans à coup, il plongeait son chibre dans cet étroit canal, alors que son complice lui cessait de bouger.
Deux sexes en moi et celui de mon mari dans la bouche, je me sentais bizarrement femme dans tout ce que cela pouvait comporter. Une femme à qui de vigoureux gaillards offraient un plaisir magistral et je n’avais à ce moment précis de l’action, aucun remord ou regret. Mais les plaisirs, tant féminins que masculins auraient toujours une limite. Celle physique décidait pour ces ...