1. Dix ans déjà (1)


    Datte: 03/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... dans la douche elle-même… Je vous attends… mais avant voyez ce merveilleux cadeau d’anniversaire.
    
    — …
    
    — Et bien, je vois que vous avez tous perdu votre langue. Allez, filez vous débarbouiller et surtout nettoyer consciencieusement tout votre attirail. Sinon, pas de jeux…
    
    Au bruit dans le couloir, je comprenais qu’ils n’y allaient pas, ils y galopaient. Marian était resté tout près de moi. Il avait doucement posé ses lèvres sur les miennes et nous nous roulions un patin appuyé. Je ne pouvais rien voir, mais j’appréciais pourtant ce baiser qui me donnait des frissons. Tout mon corps était secoué par des spasmes incontrôlables. Mon mari me tenait par le cou et délicatement persistait à m’embrasser. Abandonnée dans ses bras, je me sentais fondre. Ma peur renaissait pourtant lorsqu’une main effleurait mon genou. Les deux « amis » étaient donc de retour ?
    
    Ils s’étaient montrés très discrets et je n’avais pas entendu les pas dans le corridor. Cette fois, je me doutais bien que je n’avais plus que deux alternatives possibles. Dire non tout de suite et renvoyer les deux lascars, ou… me laisser faire. Mon mari vraisemblablement avait perçu ma crispation prononcée. Et il redoublait de petits mamours et autres baisers tendres. Lequel de Franck ou de Ilan venait d’empaumer un de mes seins ? Je n’avais pas eu l’occasion de me poser la question, que déjà le téton se trouvait aspiré entre deux lèvres gourmandes.
    
    Une main aussi montait sous le frêle voile de mousseline de mon ...
    ... déshabillé. Inutile de dire que je ne faisais rien pour faciliter l’accès à ma chatte à ces doigts dont je me doutais bien qu’ils n’appartenaient pas à mon mari. Surement que dès les abords de ma fente, l’autre s’était aperçu de son humidité conséquente. Et d’un coup, sans crier gare, je lâchais prise. Puisque Marian voulait ce genre de plan et bien tant pis pour lui. J’allais me laisser aller et non plus vraiment subir, mais bien orchestrer la montée de mon plaisir.
    
    La bouche de mon amour s’éclipsait soudain et le poids de son corps ne pesait plus sur le canapé. Les deux copains, eux ne m’avaient pas laissée. Et ce doigt qui me caressait le sexe nu sous ma nuisette, en cherchait visiblement l’entrée. Quant à son compère, il remplaçait mon mari et de mon sein, sa bouche venait me rouler une pelle. Je répondais à cette intrusion, prise cette fois par le jeu et les sons qui m’entouraient je les visualisais mentalement. Mon homme se dessapait lui aussi à côté de ses potes qui me rendaient plus dépendante d’eux, de seconde en seconde.
    
    Les choses s’accéléraient à grande vitesse. Les phalanges qui m’envahissaient la chatte ne s’écartaient pas pour interdire la venue d’un museau. Sans doute que celui qui me doigtait voulait aussi me lécher ? Enfin, Marian se calait de nouveau sur ma droite sur le sofa. Je ne résistais plus à rien, alors que mon voile transparent me passait par-dessus la caboche. Nue, j’appréciais finalement la léchouille de l’un et le baiser de l’autre. Mes ...