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Dix ans déjà (1)
Datte: 03/07/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... n’es pas d’accord ! — Attends là, Marian ôte moi d’un doute… tu n’as tout de même pas provoqué cette rencontre dans le seul but de… me prêter à tes deux potes ? — Ben… tu ne veux pas vraiment que nous les ramenions chez nous ? — N’importe quoi ! J’ai raison, ils ne sont pas là par hasard n’est-ce pas ? Avoue-le ! Allons dis-moi la vérité. — Je… je… Marian avait bredouillé et comme il venait de décoller sa bouche de mon oreille sa réponse se trouvait diluée dans le brouhaha de la musique. Les autres couples nous frôlaient et il me guidait de moins en moins bien. La série de slows prenait fin et nous regagnions notre place où les deux gaillards nous épiaient. Je devais être rouge de honte, une chance encore que la lumière tamisée ne leur permette pas de voir la couleur de mes joues. Nous buvions un autre verre et Ilan m’entrainait sans rien me demander sur la piste. D’autres slows faisaient encore et encore s’étreindre les couples sur le parquet. Je repensais à la proposition malhonnête de mon mari, alors que le mec me serrait contre lui. Une drôle d’idée s’allumait dans mon esprit. Bandait-il ce type qui me frottait trop ? Je n’avais pas le temps d’avoir une réponse. D’un coup, Marian venait de nous rejoindre et il était dans mon dos, s’accrochant à moi pour un slow à trois. Un peu étrange comme situation ! Puis une de ses mains empaumait un de mes seins sur le tissu. Il se tenait serré contre mes fesses et je me faisais l’effet d’être une tranche de viande ...
... dans un sandwich. L’alcool n’avait pas vraiment arrangé mon cerveau. Quant à ces tripatouillages, ils m’enivraient plus encore. Et Ilan me tenait de plus en plus près, de sorte que j’avais du mal de suivre les pas en musique. Marian recommençait à me susurrer des mots doux à l’oreille. Et il joignait le geste à la parole. Les autres danseurs devaient regarder cet étrange trio que nous formions sur la piste de la boite de nuit. À quel moment le troisième larron était-il venu nous rejoindre ? Je n’en savais vraiment rien. Cette fois six bras me maintenaient en cadence et la main de mon mari avait allègrement franchi la barrière de l’ourlet du bas de ma robe. Il me parlait doucement, et ses doigts en même temps me caressaient les fesses sur ma culotte. Je m’imaginais bien les regards envieux des couples qui nous entouraient. Et pourtant, je n’avais plus une réaction normale. Il aurait sans doute suffi que je dise stop à ces attouchements auxquels seul mon homme se livrait. Mais tout mon corps était devenu un brasier et je ne savais plus trop ce que je faisais. Ou plutôt si, je ne le savais que trop bien et n’avais aucune envie que ça s’arrête. Dans mon oreille, les mots s’égrenaient comme pour me plonger plus avant dans cette ambiance bizarre. — Tu veux bien ? Dis ma Chérie, tu veux bien me faire plaisir ? Nous ne sommes pas obligés de rentrer chez nous. Un endroit discret et calme pourrait aussi faire l’affaire. — … ! Tu… arrêtes ! Je ne veux pas être vue par tout le ...