1. Nièce et Daguerre


    Datte: 03/07/2022, Catégories: fh, grossexe, forêt, campagne, amour, pénétratio, donjon, historique, Humour Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... qui te choque ? La belle Oboidor dort
    
    et il ne s’agit point de culbuter un mort !
    
    — C’est juste Monseigneur, mais je vous le rappelle,
    
    votre belle Oboidor demeure encore pucelle.
    
    — Eh ! Qu’à cela ne tienne, elle est anesthésiée
    
    elle ne sentira point son hymen éclater.
    
    — Puisque vous y tenez, déflorez donc ma nièce,
    
    sur ce moi je m’en vais et salue votre Altesse.
    
    Malgré son écuyer, ses tergiversations,
    
    il n’avait point de cesse à son excitation.
    
    Il grimpa sur le lit tenant en étendard
    
    la hampe de son vit, de son énorme dard.
    
    Écartant bien les cuisses, dégageant le cornet,
    
    il fourra son phallus dans le minou inerte.
    
    Mais hélas Oboidor silencieuse dort encore.
    
    Alors il s’activa et étreignit ce corps.
    
    Le phallus gigantesque repoussa ses entrailles
    
    qui remontèrent soudain jusque dans son poitrail.
    
    Le cornet clapotait, la belle eut un hoquet,
    
    et le Comte étonné prit la pomme en pleine poire.
    
    Oboidor a toussé, faut-il reprendre espoir ?
    
    Enguerrand sans y croire y mit tout le paquet,
    
    la bourrant vivement en pressant ses tétons,
    
    aérant ses soufflets par un baiser profond.
    
    Les paupières d’Oboidor papillonnèrent un peu
    
    puis aspirant de l’air elle ouvrit grands ses yeux.
    
    — Que faites-vous sur moi mon bon Comte Enguerrand ?
    — Ma douce je vous baise comme un amant gourmand.
    — Est-ce bien vous que je sens me dilater la chatte
    
    et pousser votre gland au-delà de ma rate ?
    
    — C’est bien moi mon amie des sorts ...
    ... je suis vainqueur
    
    pour vous de votre pomme qui vous bouchait la glotte,
    
    pour moi du déshonneur flottant dans ma culotte.
    
    Maintenant tout va mieux profitons du bonheur.
    
    Il fit tant et si bien que des heures plus tard
    
    attirés par les cris de la belle en fanfare,
    
    accourent les voisins pour voir ce qui se passe.
    
    Ils n’en croient pas leurs yeux, ce qu’ils voient les terrasse.
    
    Tenant entre ses mains le visage d’Enguerrand,
    
    La belle Oboidor geint et dit tout son tourment :
    
    — À moi Comte deux mots, n’êtes-vous point fatigué ?
    
    Voilà des heures déjà que vous me déglinguez
    
    sur le dos, en levrette, et même sur le côté.
    
    J’avoue, je le regrette, mais je suis éreintée.
    
    — Éreintée mais vivante, c’est tout ce qui importe,
    
    et que tu sentes bien l’amour que je te porte.
    
    — Pour sentir je le sens, j’en suis toute retournée,
    
    être prise de la sorte je n’ai jamais rêvé.
    
    Je vois même en plein jour les étoiles du ciel
    
    et ma chatte barbote comme un vieux pot de miel.
    
    — Chanteras-tu encore vilenies sur ma queue,
    
    une de ces chansonnettes qui amusent les gueux ?
    
    — Jamais plus ne tiendrai de mauvaises paroles
    
    sur un vit qui me plaît et sait me rendre folle.
    
    Il me faudrait trouver une formule magique
    
    afin de qualifier votre queue fantastique.
    
    Que diriez-vous peut-être, si ce n’est trop technique,
    
    d’ « Enguerrand l’enfanteur et sa braguette magique » !
    
    De partout accouraient des femmes hystériques
    
    elles étaient prêtes à ...
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