1. Nièce et Daguerre


    Datte: 03/07/2022, Catégories: fh, grossexe, forêt, campagne, amour, pénétratio, donjon, historique, Humour Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... soir, il est vrai, est jour de pleine lune.
    
    Cependant petit homme pour une telle dépense
    
    je veux que désormais ballotte sous ma panse
    
    le plus gros appendice de toute la région,
    
    je dirais même plus : de toute la création.
    
    Juste à la nuit tombée l’écuyer s’en revint
    
    transportant avec lui un somptueux butin.
    
    Il alla au marais et posa ses effets
    
    puis dans la boue infâme s’étendit sans regret.
    
    À ses lèvres il porta le tube de roseau
    
    et de tous ses poumons il souffla dans l’appeau.
    
    « Coua ! Coua ! » fit simplement le frêle engin de bois
    
    et le soudard pensa : « il s’est foutu de moi ! »
    
    Mais lors, comme un écho mille fois répété
    
    les grenouilles alentour parurent alertées.
    
    « Coa ! Coa ! Coa ! » faisaient-elles en semblant s’approcher,
    
    si bien que dans le tube il reprit de souffler.
    
    Les batraciens agiles sautaient comme fascinés,
    
    sur son corps immobile certains vinrent se jucher.
    
    Une rainette verte à la peau irisée
    
    sauta sur son pénis dans sa toison frisée.
    
    Plus Enguerrand soufflait dans son petit pipeau,
    
    plus la grenouille vibrait en gonflant son jabot.
    
    Les caresses répétées du joli batracien
    
    firent penser au Comte qu’il perdait son latin :
    
    allait-il bander pour une petite grenouille
    
    dont les pattes palmées lui tripotaient les couilles ?
    
    Le pénis minuscule devint apoplectique,
    
    la grenouille s’enfila pour un coït épique
    
    agitant son vagin de façon frénétique.
    
    Cette situation pouvait sembler ...
    ... comique,
    
    mais pourtant le bonhomme y prenait du plaisir.
    
    Se pinçant pour le croire, il poussait des soupirs,
    
    tandis que la bestiole semblait soudain plus lourde.
    
    Chaque seconde elle enflait, comme un œuf, une gourde.
    
    —Veut-elle se gonfler à la taille d’un bœuf,
    
    elle risque d’éclater et va finir en peuf !
    
    Plus la bête trémoussait, plus son poids était grand
    
    et son corps s’allongeait aussi avec le temps.
    
    Tant l’étreinte avançait, tant sa peau était douce,
    
    il lui sentait des mains, des doigts et même un pouce.
    
    De longs cheveux soudain lui couvrirent le visage,
    
    dont il vit la blondeur à la lune sans nuages.
    
    C’est une fille sublime qui sur lui remplaçait
    
    la petite rainette, tendrement l’enlaçait,
    
    Ils roulèrent dans la boue comme des forcenés
    
    et baisèrent jusqu’au jour à en être épuisés.
    
    Daguerre s’inquiétait et rechercha son maître,
    
    le trouvant endormi tout seul sous un hêtre.
    
    Il n’en revenait pas de voir entre ses cuisses
    
    un service trois pièces, des couilles et un pénis
    
    comme ceux d’un taureau couvrant une génisse.
    
    Une petite rainette sauta dans l’eau propice.
    
    Le guerrier se lava dans la mare la plus proche
    
    astiquant médusé sa bite et ses balloches.
    
    — Mon ami allons-y, retournons au château,
    
    retrouver Oboidor et ses méchants propos,
    
    que je lui cloue le bec à grands coups de ma queue
    
    et lui prenne ses fleurs, oui j’ai bien dit les deux.
    
    Las, pendant tout le temps qu’utilisa le Comte
    
    pour trouver ...
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