Le piège. (18) - Histoires de Sexe

Le piège. (18)

... me disant

- Tu verras, je t’ai mis une surprise sur ton lit. Je suis sûr que cela t’ira très bien !

Je m’interroge sur ce qu’elle me prépare et lui demande

- Quelle surprise ?

Elle me répond d’un ton plutôt sec et autoritaire

- Une surprise, c’est une surprise ! Ne cherche pas à comprendre et fais ce que je te demande.

Je suis interloqué et je m’apprête à lui répondre lorsqu’elle me lance avant de sortir de la salle de bain

- C’est moi la maîtresse des jeux aujourd’hui ! Tu l’acceptes ou bien cela met fin à notre marché.

Avant qu’elle ne referme la porte derrière elle, j’ai juste le temps de lui bredouiller

- D’accord maman, je fais faire ce que tu me demandes.

J’enfile mon peignoir et me dirige vers ma chambre. En passant dans le couloir, je jette un œil par la porte entrouverte de la chambre de ma mère. Elle est assise sur son lit face à son armoire et me tourne le dos. Elle a déjà enfilé des bas et est en train de mettre la guêpière achetée ensemble ce matin dans la boutique Secrets Pigalle sur le boulevard de Clichy. Elle est superbe dans cette lingerie noire qui met si bien en valeur ses formes. Je fixe ses seins qui remplissent parfaitement les bonnets 85C et les transforment en obus pointant vers l’avant. Elle s’est déjà séchée les cheveux et s’est fait un petit chignon relevé haut au-dessus de sa nuque, ses épaules sont fermes et graciles. Sa chute de reins est des plus sensuelles et je ne peux que mater de nouveau ses fesses ...

... musclées.

Si elle est en train de se parer de sa nouvelle lingerie, c’est qu’elle a encore envie de moi. Rien que d’y penser, ma queue commence à grossir dans sa prison de fer. Ma mère est une fieffée coquine ! Elle m’a remis en cage après que je l’aie bien enculée sous la douche tout en sachant qu’elle allait devoir me libérer de nouveau pour que je lui prenne la chatte lorsqu’elle va me rejoindre dans ma chambre. Elle aime faire durer mon supplice et elle doit certainement savourer le plaisir de savoir que je ne peux bander pleinement que lorsqu’elle m’y autorise en me libérant de mon carcan d’inox. J’ai finalement l’impression de n’être que l’un de ses sex-toy parmi ceux cachés dans la boite au fond de son armoire. Mais j’ai accepté le marché et, bon an mal an, je ne peux pas vraiment me plaindre puisque nous faisons l’amour tous les week-ends.

M’arrachant à la contemplation de ma mère qui, penchée vers l’avant pour fermer ses escarpins, m’offre une superbe vue de ses fesses, je fonce vers ma chambre pour me préparer avant qu’elle ne me rejoigne. C’est alors que je suis en train de retirer mon peignoir que je remarque « la surprise » posée sur mon lit. Il s’agit de la même guêpière que celle que ma mère vient de revêtir dans sa chambre. Cependant, je comprends vite que c’est en fait celle que je lui ai empruntée il y a trois jours pour sortir avec monsieur Dubout et qu’elle a retrouvée tachée de sperme. A côté de la guêpière est également posée une paire de fins bas noirs. Je ...