Le piège. (18) - Histoires de Sexe

Le piège. (18)

Nous voici de retour à notre appartement de Montmartre après avoir effectué les achats de lingerie de ma mère sur le boulevard de Clichy. Pendant toute la remontée vers chez nous, je n’ai cessé de m’interroger sur sa remarque concernant la guêpière tachée de sperme qu’elle a retrouvée sur son lit.

Peut-être avait-elle intentionnellement laissé cette guêpière sur son lit en vue de me piéger. Et moi, excité comme une jeune pucelle à l’idée de m’exhiber avec devant monsieur Dubout, je ne pouvais pas imaginer que l’on allait m’asperger de foutre lors de notre sortie au Provence. Je suis un peu inquiet de la suite des événements mais ma mère semble avoir oublié l’incident.

Cette journée de samedi se passe normalement et je suis déçu que ma mère ne se décide pas à se lancer dans nos jeux coquins. Ce week-end, c’est à son tour de mener les ébats et j’espère bien que je vais pouvoir profiter d’elle même si je ne suis pas le maître de cérémonie. A 23 ans, un jeune homme comme moi a des besoins qu’il doit impérativement satisfaire. Même si j’aime me travestir et jouer à la petite salope avec Henri, j’ai néanmoins besoin de me masturber trois ou quatre fois par semaine. Or, depuis que je suis encagé, cela m’est devenu impossible.

Heureusement que mercredi soir, lors de notre soirée avec les blacks dans le sauna de Thierry, Gilbert m’a bien sucé et m’a purgé de mon trop plein de foutre. Sa bouche n’est pas aussi excitante que celle de ma mère mais c’est tout de même mieux que ...

... rien ! Mais cela fait déjà trois jours et une nouvelle purge ne me ferait pas de mal.

Nous en sommes au dîner et ma mère ne se décide toujours pas à lancer les jeux. Je crois bien que c’est foutu pour ce soir et je me demande si cela ne fait pas partie de son plan. Me laisser poireauter pour mieux me surprendre. Heureusement, alors que nous en sommes à débarrasser la table, elle me dit

- Chéri, va sous la douche ! Je mets le lave-vaisselle en route et je te rejoins.

A la rapidité de ma réponse, elle doit se douter que j’attends cela avec impatience

- Oui maman, j’y vais. Ne traîne pas trop !

Quelques secondes plus tard, je suis à poil sous la douche et l’eau bien chaude me ruisselle sur tout le corps. Je me savonne en faisant attention de ne pas trop m’exciter tant que ma cage n’est pas retirée.

Soudain, le rideau de la douche s’entrouvre et ma mère, nue, vient se placer contre moi sous le jet d’eau. Une fois qu’elle est bien mouillée, elle me tourne le dos et me dit

- Savonne moi bien le dos et les fesses pendant que je m’occupe du devant.

Une fois que mes mains sont bien savonnées, je lui frotte les épaules et le dos comme si je la massais. Elle apprécie

- Oh oui chéri, c’est un régal. Tu ne peux pas imaginer combien cela me fait du bien !

C’est d’autant plus difficile à imaginer que moi j’ai plutôt mal car ma bite commence à bien grossir et mon gland cogne contre les murs de sa prison d’inox.

Ma mère se penche légèrement en avant pour se ...