1. Le piège. (18)


    Datte: 03/07/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... laver les jambes et c’est tout naturellement que ses fesses pointent vers moi. De mes deux mains, je m’empare de ses globes fessiers et je les savonne bien. Certainement pour me provoquer d’avantage, elle reste dans cette position et ondule légèrement de la croupe. Je ne peux pas résister à l’envie de lui chatouiller l’œillet et, bien vite, mon index droit s’introduit entre ses fesses. Elle ondule de plus belle et je comprends vite que je peux poursuivre mes investigations même si cela ne peut qu’ajouter au mal que je ressens. Ce sont maintenant deux doigts qui lui alèsent le cul et elle semble apprécier si j’en crois ses « Oh », « Ah », « Encore », ….
    
    Soudain elle se relève, me fait face, m’embrasse à pleine bouche puis se met à genoux devant moi. Je la vois alors se saisir de la clé accrochée à son collier et ouvrir la cage. Ma queue se dresse aussitôt comme un serpent enfin libéré de son panier d’osier. Ma mère me dit d’une voix un peu sèche qui me surprend
    
    - Je crois me souvenir que ce week-end c’est moi la maîtresse de nos jeux. Alors tu es à moi et je décide.
    
    Je lui réponds
    
    - Oui maman, c’est le marché que nous avons passé !
    
    Toujours à genoux, elle me suce un peu puis se redresse en me disant
    
    - Puisque tu m’a préparé le côté verso, prends moi par là !
    
    Elle se retourne et cale ses mains contre le mur de la douche tout en tendant sa croupe vers l’arrière. Quel spectacle ! Je la saisis par la taille et me rapproche d’elle. Excité comme je le suis, je ...
    ... dois faire attention à ne pas jouir trop vite. S’il s’agit là de notre seul coït du week-end, je dois veiller à en profiter le plus longtemps possible. Mon bas-ventre se rapproche d’elle puis je promène mon gland entre ses deux globes fessiers. L’eau coule sur nous deux et me brouille la vue. Mais quel régal de jouer ainsi avec sa raie en se disant que je vais bientôt m’introduire dans ce fin boyau. Ma mère semble excitée et pressée que je la prenne. Elle ondule du bassin, tend plus loin sa croupe vers l’arrière et elle se lance dans un monologue qui en dit long sur ses envies
    
    - Oh oui, chéri, ne me fais pas attendre !
    
    - Prends moi, j’en meurs d’envie !
    
    - Je t’en supplie, encule moi bien profond !
    
    - Vas-y, plante moi ta grosse queue entre les fesses !
    
    Je ne peux plus attendre, j’ai besoin de la posséder après cette longue semaine sans baiser.
    
    Je la tiens bien fort par les hanches et je pousse lentement mon gland vers l’avant. Son petit cul se desserre et s’ouvre au fur et à mesure que ma queue progresse dans l’étroit conduit. J’adore sentir combien son cul serré compresse ma bite. Cela ne doit faire que deux ou trois fois que je la sodomise mais, à chaque fois, j’ai l’impression de lui dépuceler le cul tellement il est serré et me résiste. De son vivant, mon père ne devait pas souvent l’enculer pour qu’elle soit aussi étroite contrairement à sa chatte dans laquelle je pénètre à chaque fois sans avoir à forcer.
    
    L’eau ruisselle sur ses épaules courbées vers ...
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