Le piège. (18) - Histoires de Sexe

Le piège. (18)

... l’avant et forme un petit ruisseau qui dévale sur son dos avant de couler entre ses fesses. C’est divin d’être là tous les deux sous la douche à baiser comme des amants lubriques.

Après l’avoir besognée lentement pour bien lui lubrifier la rondelle, je peux maintenant accélérer la cadence. Mes mains quittent ses hanches, remontent sur son ventre jusqu’à ses seins. Je l’oblige à se redresser et je me retrouve maintenant bien plaqué contre son dos. Je l’embrasse dans le cou, je lui pince les tétons d’une main et lui caresse le clito de l’autre. Elle jette la tête en arrière et gémit sous mes puissants coups de boutoir

- Oh oui chéri, c’est bon !

- Encule moi bien, j’adore !

- Que ta queue est grosse, tu vas me fendre en deux !

- Tes couilles doivent être pleine de foutre ! Arrose moi bien !

Je suis sur le point de jouir mais je veux en profiter encore un peu. Je ralentis donc la cadence, sors entièrement ma queue de son petit cul qui reste bien ouvert pour mieux m’accueillir de nouveau lorsque je repars à l’assaut de cette croupe de salope. Je suis aux anges et, finalement, je ne regrette pas d’être resté encagé toute une semaine. Je crois que je jeu en vaut vraiment la chandelle !

Soudain ma mère me lance

- Oh chéri, je vais jouir ! Je suis ta petite salope, vas-y !

Voilà qu’elle se traite elle-même de salope. Elle est vraiment excitée !

Alors je la prends plus fort et accélère la cadence. Je lui dis

- Oui, tu es ma petite salope et je vais me ...

... vide en toi !

- Tu es encore plus chaude qu’une pute, j’adore !

- Tu es une véritable chienne en rut et je vais te saillir comme tu le mérites.

C’est la première fois que je lui parle ainsi mais ces mots crus semblent l’exciter au plus haut point. Elle me lance à son tour

- Oui chéri, je suis ta petite pute. Pas besoin que tu descendes sur le boulevard t’en payer une !

- Baise moi comme une chienne, vide toi bien !

- Je suis ta salope mais c’est notre secret ! Donne moi tout ton foutre !

Je pousse un long râle de bête sauvage, l’enserre fort par la taille, me plante au fond de son cul et mes longs jets de foutre se répandent dans ses entrailles. Quelle jouissance !

Lorsque ma mère est remise de ses émotions, elle se retourne pour me faire face et m’embrasse à pleine bouche. L’eau ruisselle sur ses cheveux, dégouline sur sa poitrine, coule vers son nombril et se perd entre ses jambes. Elle est superbe et m’excite encore. Si elle me laisse récupérer quelques minutes, je vais la baiser de nouveau ; mais dans la chatte cette fois-ci !

Mais la voici qui s’agenouille, me nettoie la queue de sa langue, me prend en bouche quelques instants puis, d’un geste rapide, me remet la cage. Elle se relève, me regarde droit dans les yeux et me dit

- Sèche-toi bien et va dans ta chambre. Je vais enfiler quelque chose et je te rejoins.

Je lui réponds simplement

- Oui maman, j’y vais et t’attends !

Elle est sortie de la douche et enfile son peignoir tout en ...