1. La rosière


    Datte: 02/07/2022, Catégories: h, fh, extracon, inconnu, religion, uniforme, jardin, voyage, train, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Humour initiat, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... réciter deux ave et trois pater.
    — Que dois-je comprendre mademoiselle, c’est impossible… !
    — Si, si, c’est très possible… !
    
    Il était temps pour Marie-Caroline de porter l’estocade. Elle avait bien remarqué que son agilité manuelle avait provoqué une turgescence révélatrice.
    
    — Vous connaissez alors leur fils, Michel.
    — Euh oui, le militaire ?
    — J’aimerais que vous me rendiez un service.
    — Euh… !
    
    Ce faisant sa main avait glissé des roupettes à la verge et commençait à coulisser doucement. Madame Liliane de Saint Prude avait assuré l’éducation de sa fille. Si elle était intransigeante sur la virginité de sa progéniture, elle savait aussi qu’il ne fallait pas en faire une oie blanche. Elle fit donc appel à toute l’expérience acquise par« Lili jambes en l’air » pour manipuler un homme en lui offrant ce qu’il recherche tout en donnant le minimum. La main de la jeune fille se raffermit donc autour de l’engin. L’ecclésiastique regardait ce spectacle et commençait doucement à perdre pied.
    
    — Je voudrais que vous alliez voir Michel Martin pour lui communiquer un message.
    — Mmm… répondit le vicaire, hypnotisé par cette main qui activait son plaisir.
    — Il faudrait lui dire de me rejoindre demain à seize heures précises au fond du parc pour un entretien de première importance, continua-t-elle, raffermissant sa prise et accélérant son mouvement.
    — Mmmmmm… !
    — Je compte sur vous pour prendre contact avec lui à la première heure.
    — Ouiiii…, répondit-il en éjaculant ...
    ... copieusement.
    — Je vous remercie, mon père, conclut la donzelle en lui adressant un sourire le plus angélique possible.
    
    Elle s’essuya tranquillement les mains souillées du sperme clérical sur les draps du lit, se leva, ramassa ses sous-vêtements et se dirigea vers la sortie. Se ravisant au dernier moment, elle se retourna et dit au jeune homme :
    
    — Soyez tranquille, mon père, je ne dirai rien à mon oncle sur la manière dont vous passez vos soirées.
    
    Le lendemain matin, Marie-Caroline s’habilla d’une robe blanche très sage qui lui arrivait à mi-mollet et boutonnée jusqu’au cou. Elle se coiffa en queue de cheval portée très haut et la surmonta d’un nœud de satin blanc. Tout cela accompagné de son frais minois souriant, lui donnait l’allure d’une teenager. Arrivée au salon, son chaperon lui demanda :
    
    — Viens-tu avec moi cet après-midi pour faire du lèche-vitrines en ville ?
    — Non, Viviane, j’ai un excellent livre que je compte lire dans le kiosque au fond du parc.
    — Comme tu voudras.
    
    À seize heures, la demoiselle était donc alanguie sur un des bancs de la gloriette. Elle avait allongé ses jambes sur la banquette et remonté sa robe presque à mi-cuisse, son corsage était maintenant déboutonné jusqu’à laisser voir une fente prometteuse. Probablement un effet de la chaleur estivale… !
    
    Elle ne lisait pas, mais épiait les bruits du parc. Quand elle entendit l’escalade du mur, elle se plongea avec application dans sa lecture. Elle suivait de l’oreille la progression du ...
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