En province
Datte: 23/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
alliance,
grossexe,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... que tu es… tout neuf.
— Ben ouais, puceau quoi, à presque dix-huit ans, la honte…
— Je suis… émue. Viens approche-toi, que je m’occupe de ton cas.
Elle se rassoit au bord du lit, je m’approche d’elle, entre ses genoux écartés. Elle prend doucement ma queue avec ses petites mains toutes douces et toutes blanches, elle caresse en penchant un peu la tête de côté, mes couilles aussi, en faisant des « rhôôô », « énorme », « sublime », « incroyable ». J’écarte les pieds pour bien tenir debout et fermer les yeux, tellement c’est bon. Je me penche un peu pour lui caresser les nichons. Jamais rien tripoté d’aussi doux ! Alors je continue, je masse, pelote, titille les tétons. C’est comme si ça l’excitait aussi, elle met sa joue contre ma queue en fermant les yeux, comme un câlin à un môme. Et puis soudain elle s’emballe, elle me la prend à deux mains et gobe mon gland dans sa bouche grande ouverte. Oh ce que c’est bon, c’est chaud, c’est doux, humide. Et sa langue qui n’arrête pas de me courir. Et puis ses joues se creusent et elle se met à me pomper énergiquement. Ça me fout le feu au ventre et à la tête. Pourtant, je me suis branlé une bande de fois, mais ça n’a rien à voir. Quand c’est quelqu’un d’autre qui le fait, tu ne t’attends pas à ce qui va arriver. Et puis cette bouche, si douce, sa langue… Oh là là ! Comme c’est bon…
— Putain Béa, c’est trop bon…
— Hummm… tu aimes ça, hein ? Petit coquin, va…
Elle a l’air de se régaler aussi, elle retire une main de mon zob ...
... pour me masser les couilles, ce qui lui permet d’aller encore plus loin avec sa bouche, à s’en étouffer. Elle est folle, je ne peux plus me retenir.
— Béa, Béa, vite un Kleenex, ça vient !
Mais elle ne prend pas de mouchoir. Au contraire, elle coulisse sa main sur ma hampe de plus en plus vite et aspire plus fort. Je me lâche, c’est trop bon, et ça n’en finit pas tellement c’est bon. Béa déglutit à plusieurs reprises, suce encore, lèche, se lèche aussi les babines.
— Waouh ! Ta production est à la hauteur du matériel : impressionnante. J’ai failli m’étouffer.
— Désolé, je ne t’ai pas prévenue assez tôt.
— Si si, mais je voulais absolument y goûter et te montrer que ce n’est ni sale, ni dégoûtant. Évidemment, si tu laisses ça vieillir à l’air, ça va puer. C’est pour ça qu’il vaut mieux mettre tes Kleenex dans les toilettes et tirer la chasse.
— OK. Pfff ! Je suis crevé, tu m’as tellement fait du bien que je n’ai plus de jambes.
— Viens là te reposer un moment.
— Je peux te caresser un peu ?
— J’aurais du mal à te dire non, après ce que je viens de te faire…
— Oh dis donc ! Mais toi aussi tu taches les draps. Tu as vu ?
— Ah ? Ben oui… Désolée. Ça veut dire que j’ai pris beaucoup de plaisir à te caresser.
— Tu fais voir d’où ça vient ?
Je m’étends près d’elle et je caresse sa peau si douce. Elle écarte les cuisses, et sa peau est encore plus douce tout au creux. Et puis il y a son sexe, dodu, un joli renflement couvert d’un poil assez court et pas très épais, ...