1. En province


    Datte: 23/06/2022, Catégories: fh, fplusag, oncletante, alliance, grossexe, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, init, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Oui, en gros.
    — Malformation sexuelle ?
    — C’est ça, oui…
    — Attends, Jérôme, je n’ai pas une expérience très importante, mais j’ai quand même vu quelques hommes. Tu veux bien me montrer ton… problème ?
    — Euh… c’est que… je…
    — Allez, va, je ne suis pas ta mère, je sais, mais je suis un peu… comme ta grande sœur. En fait même, c’est drôle d’y penser, mais j’ai moins de différence d’âge avec toi qu’avec ton père, onze ans avec toi et quatorze avec lui.
    — C’est pas ça, mais… tu… enfin tu me fais de l’effet, quoi !
    — Ah oui ? Tiens j’aurais pas pensé. Je me trouve tellement grosse-moche.
    — Ben non, hein, t’es super mignonne, avec des formes que mes copines n’ont pas.
    — Ah ça, je confirme, tant mieux pour elles. Allez, on s’en fout, fais voir, pose tes frusques.
    
    Je pose mon T-shirt, je tire sur mon jogging. L’élastique emmène ma queue vers le bas et, quand je me redresse, elle remonte d’un coup pour me frapper le ventre au-dessus du nombril. Béa en fait une tête ! Des yeux comme des sous-tasses, la bouche ouverte et les mains sur les joues.
    
    — Waouh ! Jérôme… Nom de dieu ! J’ai jamais vu un truc pareil !
    — Tu vois, j’te l’avais dit. Une véritable infirmité…
    — Tu rigoles ? Une véritable attraction, oui. La queue qu’il faut avoir essayée au moins une fois dans sa vie, sinon tu meurs idiote. Que ça fasse peur aux gamines, je comprends, mais dès que tu vas montrer ça à de vraies femmes, tu vas faire un tabac !
    — Tu… tu te fous de moi ?
    — Non, honnêtement non. Je… je ...
    ... suis épatée… je peux toucher ? Oh putain ! Mes doigts n’en font même pas le tour… Une main, deux mains, et il en reste encore tout ça à sucer ! Oh le pied !
    — Béa ! Tu me fais…
    — Oui mon chéri, je sens bien que ça t’agace. Mais je ne vais pas te laisser excité comme ça, ce ne serait pas charitable. Approche-toi, t’es juste à bonne hauteur. Putain, ce machin ! Et pareil pour les coucougnettes…
    — Béa, tu pourrais pas… enfin, j’veux dire, je suis à poil devant toi et… ça me ferait plaisir que toi aussi…
    — À égalité ? T’as raison, c’est normal. Mais désolée pour la grosse-moche…
    
    La « grosse-moche » pose ses fringues, lentement, comme un strip-tease. Je crois qu’elle a envie de se faire admirer ou de m’exciter, ou les deux. En tous cas, j’en profite, moi qui rêve depuis si longtemps de la voir à poil. C’est vrai qu’elle n’est pas maigre, mais elle est loin d’être grosse et encore plus d’être moche. Son corps va tout à fait bien avec son visage d’ange, ses yeux gris-bleu, un corps tout blanc qui semble tout doux, avec des nichons d’au moins un kilo chacun, une taille fine, des hanches rondes et un popotin… Nom d’un chien, ce que ce doit être bon à caresser et à se fourrer la bite dedans !
    
    — Voilà, tu vois, ça casse pas des briques.
    — Tu es… tu es magnifique… vraiment trop belle.
    — Tu es gentil, mais c’est juste parce que tu n’en as pas assez vu toutes nues.
    — J’en ai vu des tonnes sur Internet, mais en vrai, t’es la première.
    — Ah oui ! J’ai la primeur, ce qui veut dire ...
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