En province
Datte: 23/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
alliance,
grossexe,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... je suis bien, ma presque tante est jolie, rieuse, appétissante avec plein de bosses partout, devant comme derrière, bien cambrée sur sa chaise. Je crois bien que je bande… Oh merde ! C’est ma tante. Toutes les choses qui arrivent dans nos assiettes sont délicieuses. Elle me fait goûter avec sa fourchette, je lui fais goûter avec la mienne, sa belle bouche se referme sur le morceau de pizza et garde mon ustensile un bon moment. Elle rit en rentrant la tête entre les épaules, soutenues par ses coudes posées sur la table. Par son côté petite fille facétieuse, elle a soudain mon âge, deux copains de lycée.
Les glaces aussi sont délicieuses, vraiment italiennes, gourmandes et crémeuses à souhait. Là, nos échanges sont systématiques, et l’on en vient à une passe d’armes avec nos langues, riant comme des fous. L’expresso est sévère, lui aussi très italien, mais il paraît qu’il faut ça. Car ensuite elle m’entraîne à quelques pas de là vers un bistrot bizarre, planqué au fond d’une cour après une porte cochère. On se croirait soudain en Irlande, dans un pub sordide et sombre. Elle commande un whisky, moi une bière, la meilleure que j’ai jamais bue. Pour une fois, avec fierté, c’est moi qui paye. Mais avec de telles additions, mes trois cents euros ne feront pas la semaine. Elle regarde sa montre, il est déjà une heure du mat’. Je n’ai pas vu le temps passer.
— Ça tombe bien, je commençais à avoir sommeil, dis-je en sortant.
— Attends, c’est que tu crois qu’on rentre, là ? Mais ...
... la nuit ne fait que commencer, mon coco.
— Oh putain !…
— Ben, allons, les nuits parisiennes avec Tatie Gwen, faut que tu t’en souviennes ! T’es adorable, mais toute une éducation à faire. Oh ! Dire qu’il faut que je me mette sur la pointe des pieds pour te claquer une bise. Avant je devais te soulever dans mes bras.
Elle s’arrête devant une maison d’apparence ordinaire et sonne, un judas s’ouvre. Il faut montrer patte blanche, à savoir un billet de cinquante et le cerbère nous laisse entrer. Nous descendons dans les profondeurs improbables d’une cave à plusieurs étages, le premier servant de réserve aux bars puisque des caisses de boissons y sont entassées. La seconde semble exclusivement réservée aux hommes, de toutes couleurs et de toutes tenues ? Beaucoup de cuir tout de même. Un type appuyé sur le mur me lance d’une voix lascive :
— Reste avec nous mon mignon, t’es beau comme un cœur tout frais.
— Pchiiiii ! Pas touche, rugit Gwen comme une chatte défendant ses petits.
Nous arrivons à un niveaua priori « normal », où des couples se trémoussent sur une piste de bois ciré posée sur un sol de pierres. C’est voûté avec plein de petites alcôves tout le tour. De l’étage du dessous parviennent des bribes de « métal », beaucoup plus hard qu’ici où nous nous arrêtons. On s’installe dans une cavité libre, dans d’autres des groupes parlent et rient, des couples s’embrassent et se paluchent, un peu de tout, quoi. Sitôt installés, une nana maigre et pâle aux yeux cernés ...