1. Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fhh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, initfh, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... ses doigts et de sa langue alors que dans le même temps Elizabeth lui prodigue une nouvelle fellation en douceur. Agenouillé, William, de son côté, caresse les seins blancs et délicats de Catherine. Il l’invite à prendre à son tour sa verge en bouche. Elle tourne la tête et avale cette fois sans réticence cet autre sexe qui lui est offert. À quatre, emboîtés les uns dans les autres, ils forment un étonnant assemblage, vivant, mouvant, tressaillant de plaisir. Et pour la première fois de sa vie, Cathy connaît une jouissance physique donnée par un homme. Mais lorsque les deux amis, requinqués, veulent la pénétrer par-devant et derrière, elle se refuse à eux. C’est trop tôt. Nos gentilshommes se soumettent de bonne grâce à ce refus poli. Elizabeth se charge de les soulager en se livrant sans retenue, sans « tabou » leur dit-elle avec malice alors que les membres virils déchargent l’un après l’autre entre ses seins.
    
    C’est seulement à la fin de la semaine que Catherine accepte de faire l’offrande de son joli fessier. Elle veut par contre garder son hymen intact. François et William conviennent que c’est sans doute plus sage. Ils tâcheront d’y aller tout en retenue.
    
    Allongée sur le lit, elle les attend, nue, parfumée, la lueur du feu de cheminée reflétant une couleur cuivrée sur sa peau. Pour ajouter à l’atmosphère, Elizabeth lui a fait confectionner par une servante un collier de fleurs artificielles semblable à celui des filles des îles. Et pour accentuer la ressemblance ...
    ... avec les femmes indigènes, Catherine est intégralement épilée. Sa toison blonde a disparu, révélant une fente rose terriblement tentatrice.
    
    D’elle-même, en appuyant ses épaules sur le matelas, la tête posée sur un oreiller et les yeux fermés, elle relève les fesses qu’elle pousse le plus haut possible alors que les deux officiers prennent position de chaque côté, frottant leur sexe contre la peau blanche de ses cuisses. Elle est très belle dans cette posture, sa taille fine mettant en valeur son cul ferme et ses seins qui semblent encore gonfler alors qu’elle les presse contre les draps. Tête baissée et croupe offerte, elle excite furieusement les deux hommes. François et William, en bons officiers, ont convenu que l’honneur de l’assaut reviendrait au plus ancien en grade. C’est donc François qui présente son sexe le premier. Il doit se maîtriser pour ne pas s’enfoncer d’un coup entre les fesses de la jeune femme tant il est fébrile. Il parvient à se contenir, introduisant avec précaution le gland puis poussant lentement le reste du membre à travers les chairs fragiles. Elizabeth tient tendrement la main de sa cousine dont les doigts se crispent au rythme de la pénétration. La verge de plus en plus gonflée dilate son fondement au fur et à mesure de sa progression. Vient le moment où François se retrouve enfoncé jusqu’à la garde dans l’étroit conduit. C’est tellement serré, tellement bon qu’il ne peut résister longtemps. Il décharge avec un cri de victoire et laisse la place ...