Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fhh,
uniforme,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
initfh,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... loin. Elle devrait s’étouffer, mais elle se sent maîtresse de la situation alors que le doigt continue de la fouiller et l’ouvre encore davantage. Une main se promène sur ses seins, une autre joue avec son bouton secret et triture sa fente pour la présenter au sexe qui veut l’envahir. Son bassin bouge de lui-même, allant au-devant des caresses. Son ventre et ses reins s’offrent à qui veut bien les prendre. Ses paumes sont gluantes de la semence crachée par les pénis qu’elle a caressés. Et la pointe de ses tétons est si sensible qu’elle gémit lorsqu’un Tahitien les effleure juste de sa langue… et la réveille. Tout cela n’a été qu’un rêve. Pourtant son sexe est trempé. Confuse, elle réalise qu’elle n’a même pas pensé au mot « cauchemar ».
Par contre, ce qui est bien une réalité, ce sont les gémissements, les halètements, les cris de plaisir qui proviennent de la chambre d’Elizabeth. Sa cousine se donne à corps perdu à ses invités. « Curiosity killed the cat », disent les Anglais. Tant pis. Elle veut mieux entendre et voir. La porte est légèrement ouverte. Elle jette un coup d’œil à la dérobade. La scène la laisse bouche bée.
Elizabeth se fait prendre des deux côtés à la fois. De là où elle est, Catherine ne voit pas très bien, mais elle distingue dans cet amas de chair frémissante les membres qui plongent et sortent en cadence du corps de sa cousine. Elle s’est allongée sur le côté ; William la prend de face, les yeux fermés, concentré sur son plaisir. François, lui, ...
... la prend par-derrière. Catherine est fascinée par ce sexe qui ne cesse de coulisser sans difficulté apparente entre les fesses roses et rondes de sa cousine. Celle-ci, justement, caresse d’une main la nuque de son amant français qui redouble d’ardeur et plie de son bras la jambe de la jeune femme pour mieux la pénétrer. Elizabeth se cambre en criant sous les coups de boutoir de l’officier qui sent arriver le moment suprême avec une excitation croissante. À travers la mince paroi qui sépare les deux orifices, il sent également le frottement du sexe irlandais dont le rythme va lui aussi crescendo. La place est investie. Elle va bientôt se rendre. Leur plus belle victoire en l’honneur de la fraternité d’armes franco-irlandaise !
C’est alors que, sans réfléchir, Catherine, furieuse, fait irruption dans la chambre.
— N’avez-vous pas honte ? Vous… vous faire couvrir comme une chienne en chaleur alors que votre mari risque encore sa vie pour l’Angleterre ! Que lui direz-vous quand il rentrera ? Votre conduite déshonore notre famille !
S’arrachant aux membres qui la pénètrent, Elizabeth se retourne vers sa cousine. À quatre pattes sur le lit, avec ses seins lourds qui pendent, sa crinière rousse ébouriffée, son sexe mouillé et ouvert, elle ressemble à une idole païenne vouée au plaisir. Sa peau luit de sueur. Ses yeux émeraude jettent une lueur si dure, si féroce que Catherine recule de saisissement. Cela ne dure que l’espace d’un instant. Son visage reprend aussitôt une ...