1. Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fhh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, initfh, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... expression douce et calme. Et même un peu amusée. Elle se lève et se dirige vers un petit secrétaire à la marqueterie délicate. Elle y saisit une lettre qu’elle tend à Catherine.
    
    — Henry est toujours vivant et il ne risque plus rien, rassurez-vous. Il a été fait prisonnier en Virginie. Il est blessé et convalescent. Il est tenu à résidence chez une charmante veuve qui lui pompe toute son énergie, si vous voyez ce que je veux dire. Inutile de prendre cet air offusqué, ma cousine ! Henry et moi menons une vie libre depuis longtemps.
    — Une vie de libertins, vous voulez dire ? J’aurais dû m’en douter en voyant vos livres.
    — Si vous voulez. Pourquoi en aurais-je honte ? François l’a bien dit : la vie est courte. Henry est lui aussi militaire et pense exactement de même. Nous voulons jouir de l’existence, même si cela vous paraît égoïste. Au diable la pruderie et tous ces bigots, catholiques ou puritains, qui nous entourent ! Venez donc et joignez-vous à nous. Il faut que vous compreniez qu’entre gens de qualité, garçons et filles, hommes et femmes peuvent goûter des délices inexprimables sans que cela ne leur coûte rien. Venez, vous-dis-je ; la volupté vous effraie donc tant ?
    
    Catherine est partagée entre l’envie de fuir à toutes jambes et celle de se laisser tenter. Et elle se laisse tenter. François lui tend la main et elle vient dans leur couche. Elle ne porte sur elle qu’une indienne de coton qui est vite roulée en boule et jetée au pied du lit. Six mains, trois ...
    ... bouches et deux phallus fièrement dressés vont s’occuper de son corps et faire chavirer ses sens. Les deux hommes n’ont pas eu le temps de jouir. Leurs forces sont encore intactes. Ils en tremblent de frustration et d’impatience.
    
    Elle hésite à toucher le membre dur qui se présente devant elle. Il semble trop gros, trop fort. C’est donc Elizabeth qui montre comment faire.
    
    — C’est… dégoûtant. Je ne pourrai jamais.
    
    Mais disant cela, elle ne cesse de se rapprocher ; elle finit par se pencher, écarte doucement ses lèvres, et soudain François sent une bouche plus fraîche qui l’avale. Elle est là, sur le lit, à genoux, les joues creusées au rythme de l’aspiration, la main astiquant en cadence sa tige comme le lui indique Elizabeth. Entre-temps, les doigts de cette dernière furètent entre les cuisses de Catherine, titillant son clitoris, s’introduisant légèrement dans son sexe et son anus. À plusieurs reprises, la jeune femme interrompt sa succion pour gémir dans les draps. Sa main continue toutefois de branler François qui, les yeux clos et les mains derrière la tête, bénit sa bonne fortune. Quand il annonce par galanterie qu’il va jouir, Elizabeth encourage sa cousine à le garder dans sa bouche. Catherine a un haut-le-cœur, mais résiste à l’envie de tout recracher, soucieuse de rester élégante jusqu’au bout. Elle se contente d’essuyer délicatement avec un mouchoir de dentelle la semence qui perle encore au coin de ses lèvres.
    
    Puis François explore son sexe et son joli cul de ...