1. Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fhh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, initfh, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... à William. Lui prend son temps et elle crie longtemps pendant qu’il la besogne, les mains plaquées sur son dos pour qu’elle se cambre encore davantage. Son sexe pilonne comme une batterie d’artillerie le fragile orifice. Jusqu’à l’explosion finale.
    
    Étendus contre elle, les deux hommes caressent son corps de longues minutes, morts d’envie de la déflorer. Son sexe est là, ouvert, offert, ruisselant. Il suffirait de se présenter et de pousser la porte. Mais ils savent respecter leur promesse alors que, pantelante, Catherine aurait été bien incapable de leur résister. Elizabeth leur donne son ventre en récompense une dernière fois. Il faut repartir le lendemain, le congé arrivant à expiration. Les adieux sont émouvants. La paix sera bientôt signée, le mari d’Elizabeth regagnera son foyer et de nouvelles aventures se présenteront bien aux uns et aux autres.
    
    Le chemin du retour est long ; cela permet aux deux hommes de discuter tranquillement, bercés par le ballottement de la diligence.
    
    — Elle ne nous aura pas donné sa fleur. Dommage. Vous ne regrettez rien, William ?
    — ...
    ... Absolument pas. J’aime les femmes qui se donnent, pas celles que l’on force. Son amant aura une chance extraordinaire, et j’espère qu’elle sera heureuse. Reste à savoir si elle le trouvera, ce bonheur. Il existe trop d’hommes violents et emportés. Je suis toujours émerveillé à l’idée qu’une femme vous offre son corps. Qu’on puisse leur faire du mal me révolte. Savez-vous que lorsque j’étais à Paris, je me suis retrouvé en garnison au donjon de Vincennes ? Travail assez déplaisant de garde-chiourme, dois-je dire. J’y ai fait la connaissance d’un curieux personnage. Un libertin, mais de la pire espèce, justement. Il a rédigé des textes blasphématoires et d’une extraordinaire cruauté. Il ne conçoit de plaisir que dans la souffrance et la douleur qu’elle soit reçue ou infligée. Vous ne pouvez imaginer les tourments qu’il inflige à ses malheureuses héroïnes. Je doute que ses livres aient un jour une quelconque postérité.
    — Comment s’appelle-t-il ?
    — Donatien Alphonse, marquis de Sade.
    
    « Quiconque n’a pas connu le XVIIIe siècle n’a pas connu la douceur de vivre. »
    
    (Talleyrand) 
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