1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1526)


    Datte: 19/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... bestialement tel un mâle en rut, Walter me passait autour de la verge un objet à tête flexible qui venait enserrer mon pénis à l’aide de ses deux rabats et le mettait immédiatement en action…. Terrible, c’était simplement apocalyptique…
    
    - Je… je vais…
    
    - Non pas encore, ne jouit pas tout de suite, la pute, laisse-moi t’ensemencer et seulement après tu jouiras !, m’ordonnait le Maître.
    
    Je n’allais pas pouvoir tenir longtemps, ces virils coups de butoir irradiaient mon être tout entier, je jouissais du cul, j’en comprenais maintenant le sens. Cette machine infernale et vibrante sur mon sexe me rendait comme fou. Le Maître me saisissant toujours par les hanches, poussait violemment, me labourait les entrailles, ces testicules claquaient contre les miennes, tout en me traitant de mille appellations des plus humiliantes, jusqu’à cet instant où il se figeait et giclait plusieurs fois, une quantité importante de flots saccadés de sperme en mes entrailles, en gémissant et envoyant des râles orgasmiques sans retenues, bruyamment. Puis il resta planté en moi, quelques secondes en un coït anal, parfaitement immobile
    
    - Voilà, tu es définitivement à Moi maintenant, vas-y jouis et braille comme une lope doit le faire lorsqu’elle éjacule, la ...
    ... pute.
    
    Walter accélérait les vibrations sur mon sexe, quelques secondes après, par spasmes successifs, je giclais en envoyant mon foutre sur le sol, sans contenir mes cris libérateurs de chienne en chaleur !
    
    - Détache-le Walter, je veux le voir laper ses souillures !
    
    Alors toujours en levrette, tel un chien, je me mis à lécher mon propre sperme avec dévotion, n’occultant aucune goutte tombé au sol, puis le Maître reposait Lui-Même la cage de chasteté sur mon sexe maintenant flasque et s’en allait rejoindre Ses appartements, sans un autre regard pour moi. Il me laissait là avec Walter, qui me raccompagnait jusque ma cellule. Il m’ôtait le collier, le rangeait à l’endroit où il devait être et me laissait repartir en me disant :
    
    - Tu retrouveras tes effets personnels dans ta voiture, Tâche de garder en toi la divine et sacrée Semence de Monsieur le Marquis, laisse-là se diffuser dans ton corps mais aussi dans ta tête de chien soumis, ainsi tu vibreras, chien soumis.
    
    Je traversais l’immense cour gravillonnée, nu, le cul bien ouvert et poisseux par ce gel lubrifiant, et qui dégoulinait un peu du trop-plein de sperme, puis j’enfilais short et tongs, et je repartais fébrile mais les couilles vidées, en direction de la Bastide…
    
    (A suivre…) 
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