1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1526)


    Datte: 19/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ? Il voulait qu’en arrivant au Château, à chaque fois que je devrais m’y rendre, moi seul devait venir m’enfermer dans cette cellule… J’en comprenais le sens : Un acte fort qui me permettrait à chaque venue ici de renouveler résolument mon engagement, mes vœux volontaires et catégoriques de soumission. Jamais je n’avais imaginé une telle perfidie, même dans mes fantasmes les plus diaboliques, les plus brulants, les plus excitants. La cellule devait faire deux mètres de large sur trois de long. Tout au fond, contre le mur en pierre, posé à même le sol, une paillasse sur laquelle il y avait une couverture pliée en quatre. A ce mur, il y avait même plusieurs anneaux métalliques scellés auquel étaient attachées des chaînes… En levant la tête, j’aperçus aussi d’autres chaînes destinées à être pendues, celles-ci étaient enroulées sur des enrouleurs et prêtes, je l’imagine, à être déroulées dans le vide… Dans quel état d’esprit étais-je, là, à cet instant ?… Bien difficile de le dire, bien difficile de décrire avec précision ce que je ressentais. J’étais, nul doute, effrayé, les choses s’étaient passées si vite. En l’espace de quatre jours, ma vie avait basculé. Du jeune homme libre, ambitieux, peut-être même présomptueux, avec une certaine aisance financière, je me retrouvais là dans le plus grand dénuement, enfermé entre des barreaux tel un banni, détenu et, de plus est, de mon plein gré. Malgré ça, j’éprouvais aussi certainement un bien-être avec des sensations agréables ...
    ... procurées par la satisfaction de besoins physiques et psychiques qui s’imposaient à moi désormais. Ma Nature primitive et servile s’exprimait par mes plus bas instincts que j’aspirai à vivre, désormais.
    
    Faisait-il jour ? Nuit ? J’avais dormi, malgré ces lampes restées éclairées, malgré cette paillasse défoncée. J’entendais gémir, soupirer, souffler, geindre, murmurer. Je soulevais quelque peu la tête pour comprendre ce qu’il se passait près de moi. Là, deux cellules plus loin, une jeune et belle femme, à l’évidence une soumise, puisque nue et avec un collier épais autour du cou, identique au mien, se faisait prendre par un homme que je ne connaissais pas. Lascive, ses cheveux longs et blonds couvraient presque pudiquement ses seins, elle était allongée sur le dos, les jambes relevées, les chevilles posées sur les épaules de celui qui la besognait à grands coups de reins visiblement virils, puissants, profonds. Elle était calme, impudique, obscène même, elle se laissait donc besogner en geignant doucement malgré les grands coups de butoirs que l’homme lui donnait. Lui, sauvage, rustre, pantalon baissé à mi-cuisses, parce que sans doute pressé de se vider, s’enfonçait en elle, en faisant claquer ces attributs masculins contre ses fesses relevées et offertes. Peu de temps après, il jouissait à grand bruit puis remballait son matériel et s’en allait sans un regard ou une attention particulière vers cette jeune femme qu’il venait de baiser. Il était venu de tirer son coup… point ! Et ...
«1234...»