1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1526)


    Datte: 19/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... j’ignorais encore. J’en tremblais, étais au bord de craquer, quand j’entendis :
    
    - C’est bien le chien, tu es courageux et résistant, nous allons faire de toi, une belle salope, hélait Walter de loin.
    
    Je l’entendais venir de derrière moi, ses pas crissant sur les graviers rouges de la cour. Il avançait lentement, comme s’il voulait encore me tester quelques secondes de plus… A cet instant, je le maudissais, hargneux je l’étais, il allait voir ce Majordome de mes deux, ce que j’étais capable de faire ! Je serrais les dents et les poings et restais impeccablement immobile. Lui, montait tranquillement les marches du perron, passait près de moi, sans un regard, sans une attention particulière et entrait au Château. « Quel salaud ! » pensais-je… Je m’avouais vaincu, le corps trop douloureux, je m’écroulais au sol…
    
    - Une heure, douze minutes et trente-sept secondes précisément, ce n’est pas mal, mais peut mieux faire. Et devra faire beaucoup mieux, s’il souhaite être un bon chien dévoué au Maître !
    
    Le Majordome était revenu… juste quelques secondes après que je fus tombé à même le sol, avachi de fatigue musculaire. Walter, comme s’il avait tout enregistré, tout vu, jusqu’à minuter le temps de mon immobilité me scrutait de bien haut, d’un air sévère. Avec une cravache, il me claquait les fesses à six ou sept reprises et m’ordonnait de me redresser, de me mettre à quatre pattes et de le suivre. Après quelques marches descendues avec difficulté sur la pierre dure des ...
    ... marches sur mes genoux meurtris, il me faisait entrer par une porte basse et dérobée donnant sur l’arrière du Château après un long couloir étroit. Il la déverrouillait, me poussait à l’intérieur, m’entrainait dans ce long couloir voûté seulement éclairé par des néons blafards jusque dans une pièce sans fenêtre dans laquelle il y avait une rangée de cellules, toutes les unes à côté des autres, séparées par de lourds barreaux d’acier. Il me poussait dans l’une d’elle, qui était entrouverte, repoussait la grille derrière moi. Celle-ci se verrouillait automatiquement.
    
    - Te voilà chez toi petite salope, voilà cet endroit qui t’est dédié, la cellule numéro 9. A chaque fois que tu seras convoqué par le Maître, tu viendras ici directement, sans passer par la case perron. La porte dérobée de la cour n’est jamais verrouillée et ainsi tu auras toujours accès à cette cellule directement. Tu te foutras à poil dans ta voiture, tu y laisseras tes effets personnels et rejoindra ce lieu directement sans attendre. Tu t’enfermeras toi-même dans cette cellule, tu as vu, tu n’as qu’à tirer la lourde grille et celle-ci se verrouille automatiquement. Une fois à l’intérieur, tu mettras ton collier, il sera toujours pendu là, à cet endroit et tu attendras que l’on daigne venir te chercher. Ah, oui, autre chose… Ce seau, là, en métal, est fait pour recueillir tes déjections. Sur ce… bonne nuit, salope !
    
    Incroyable, j’étais dans un monde de pure perversion et de déviance ! Avais-je bien entendu Walter ...
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