1. La chevrette


    Datte: 17/06/2022, Catégories: fh, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, caresses, pénétratio, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ce spectacle à la traditionnelle gaule du matin, ma zigounette inspecte le plafond tandis que mes yeux ne peuvent se détacher de ce strip-show. Je manque de me brûler là où il ne faut pas sur la cuisinière qui rugit d’un feu d’enfer, ne pouvant échapper sans paraître bégueule à cette séquence de nudisme. Elle s’essuie énergiquement, les yeux rivés sur ma virilité dressée :
    
    — Ça s’arrange pas ton affaire depuis hier soir…
    — Non, surtout après les rêves que j’ai faits.
    
    Et je raconte…
    
    — Ha-ha-ha ! Bien, la Harley-bouquetin ! Quant au chamois, en fait de femelle soumise, il pourra repasser !
    
    J’ai la folle envie de la toucher, de sentir sur elle le discret parfum du savon frais, elle s’assoit face à moi devant son bol de café brûlant, mes yeux ne quittent pas ses seins magnifiques. Elle couvre de grandes tartines de crème et engloutit le tout avec appétit, naturel et entrain. En un éclair, ses formes merveilleuses disparaissent dans vêtements et bottes, me laissant pantois et au garde-à-vous.
    
    — Allez, lave-moi tout ça, fait-elle en me saisissant le pénis sans pudeur, sinon je lui fais comme au pis de mes vaches ! Je t’ai mis une serviette et un gant…
    
    Elle disparaît, les bêtes s’agitent sous mes pieds, le chien aboie joyeusement. Quel cyclone, cette Margot ! Je la trouve cependant un peu salope de me laisser dans cet état après, il faut être honnête, avoir tout fait pour le provoquer. Mais bon, le jeu n’est pas si désagréable, l’attente peut renforcer le désir ...
    ... et le plaisir, et puis peut-être veut-elle me tester, car si j’avais vraiment voulu lui sauter dessus, peu d’oreilles auraient pu voler à son secours.
    
    Sur ses conseils, en retournant au petit col de la veille et en montant vers les rochers, je trouve tous les bouquetins souhaités. Je passe une bonne partie de la journée au milieu de ces animaux paisibles, seuls les jeunes simulent des combats dans de terribles chocs de crânes heurtés. Je redescends vers seize heures, les pellicules et les yeux bien remplis de superbes images. Des nuages lourds de promesses montent de la vallée et en moins d’une demi-heure nous sommes en plein brouillard. Margot soigne ses fromages dans la cave, les retournant, les essuyant, les goûtant parfois à cœur avec une petite tarière dont elle referme soigneusement la trace. Puis vers dix-sept heures :
    
    — Je vais chercher les vaches…
    — Dans ce brouillard ? Mais comment vas-tu les retrouver ?
    — Ben… y a Fram et les cloches…
    — Sois prudente !
    — Tu oublies, je suis chez moi ici.
    
    Effectivement, quelques dizaines de minutes plus tard, le concert de clarines et de jappements se fait entendre, et le troupeau rentre juste à temps pour éviter une grosse averse. Je la rejoins pour quelques clichés de la traite, mais cette fois avec un autre appareil, un autre objectif très ouvert et une pelloche plus sensible : pas de flash, je joue juste avec l’ampoule pendant au bout d’un long fil.
    
    — Tu sais quoi ? Je trouve ce geste éminemment érotique…
    — Hé-hé ...
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