1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... religieusement, prenait enfin contact avec le sexe insolent de son compagnon. Ce fut comme le signal d’une nouvelle vague de folie. Elle arracha plus qu’elle n’ôta le dernier obstacle qui se trouvait sur la route de ses désirs, et reprit en main ce sexe qui lui faisait tant envie. Il réussit à son tour à la libérer de ses derniers vêtements, et une fraction de seconde marqua un temps d’arrêt. Ce qu’il découvrait était pour lui le fin du fin de l’érotisme : aucun poil ne venait cacher l’abricot doré qu’il venait de découvrir. Elle avait un sexe lisse de bébé. C’était pourtant bien celui d’une femme, charnu, haut fendu, des petites lèvres débordant largement et cachant à peine le clitoris bandé comme une petite verge. Il eut l’envie irrépressible de manger là, tout de suite ce beau fruit mûr, de goûter, de boire, de savourer ce corps complètement offert.
    
    — Que tu es belle comme ça, lui dit-il en la prenant dans ses bras, et en la portant vers le canapé.
    
    Tout en la couvrant de baisers, il la déposa sur le cuir noir. Sa peau uniformément dorée, signe de séances de bronzage intégral, luisait doucement dans la pénombre de la pièce. Il posa ses lèvres sur les seins de Mireille, happant délicatement le mamelon dressé. Elle se tendit comme un arc, sa main crispée sur la hampe raidie se serra encore plus fort. Les mains de Pierre caressaient l’une, les longues cuisses fuselées qui ne tardèrent pas à se séparer largement, l’autre, le cou et la nuque de son amie, pour ...
    ... l’apaiser. De sa main libre Mireille poussa doucement la tête de Pierre vers son ventre en une invite parfaitement claire. La tête bougea avec une lenteur exaspérante pour la jeune femme, les lèvres qu’elle désirait tant sur son sexe empruntèrent la tendre vallée entre ses deux seins. La main qui lui caressait le cou s’empara du sein gauche, le flatta, le massa tendrement, pinça entre le pouce et l’index le téton dressé au milieu de l’aréole. La bouche descendait toujours aussi lentement. Mireille sentait sur sa peau tantôt les lèvres, tantôt la pointe de la langue. Longtemps il s’attarda autour du nombril, retardant volontairement le moment qu’ils désiraient tous les deux avec tant de force.
    
    — Que ta peau est douce, que tu es tendre, chuchota-t-il.
    
    Cette peau qu’il voyait de si près, dont il s’imprégnait avec tant de ferveur, avait un grain tellement fin qu’il en percevait à peine les pores. Il réalisa qu’il n’y avait même pas une trace de duvet. Et pourtant qu’elle était soyeuse !
    
    Ses lèvres avaient atteint le mont de Vénus. Même impression que plus haut, pas la moindre trace de duvet, mais une peau douce, tendre, à croquer. Mireille haletait de plus en plus fort. Son corps complètement tendu, les cuisses ouvertes, elle offrait avec une belle impatience son sexe à son bientôt amant. De la pointe de la langue, celui-ci toucha le clitoris. Elle poussa une sorte de feulement rauque, animal, félin. Brutalement son corps se détendit et ses mains appuyèrent sur la tête de ...
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