Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
rousseurs,
couplus,
voisins,
fépilée,
campagne,
magasin,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
uro,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... resta immobile pendant quelques secondes et quand Pierre lui posa la main sur l’épaule pour l’inviter à sortir de la pièce elle ne put s’empêcher de frissonner. Du coup il laissa sa main où elle était et s’en servit pour la faire pivoter quand ils furent dans le couloir. Il reçut contre lui un corps ferme et souple, frais et fiévreux, elle s’offrait visage tendu, lèvres entrouvertes, bras ballants le long du corps, sans défense. Leur premier baiser fut d’abord timide puis s’enflamma d’un coup. Elle devint alors exigeante, fouillant de sa langue cette bouche qui la faisait vibrer, mordillant cette langue qui la fouillait en retour, pressant ses seins contre le torse de Pierre, projetant son pubis contre celui de son vis à vis, pressante, impatiente, jeune femelle en attente d’un plaisir qu’elle voulait fort, violent.
Pierre, de son côté, ne restait pas inactif. Ses larges mains prenaient possession de ce corps offert, caressant les épaules, le dos, la nuque, notant au passage les points qui se révélaient sensibles et déclenchaient des frissons chez sa compagne. Essoufflée, haletante de désir, elle rompit leur baiser et le prenant par la main l’entraîna dans le salon. Là, elle se pendit à son cou cherchant à rétablir le contact avec ce corps qui lui faisait perdre la tête. Pierre en profita pour reprendre ses caresses et explorer de nouvelles régions encore inconnues de ses mains. Les bras noués autour de son cou elle lui offrait un accès royal à ses seins. Lorsqu’il en ...
... prit possession, à travers la robe et le soutien-gorge elle poussa un gémissement. Ferme et bien ronde, sa poitrine réagissait aux caresses appuyées qu’elle recevait, ses mamelons étaient tendus et perçaient littéralement le double barrage de dentelle et de tissu.
Leur baiser se poursuivait, fougueux, passionné, annonciateur d’un orage à venir dont la violence serait difficilement contrôlable. Les mains de Pierre quittèrent un instant les seins de Mireille, et déboutonnèrent la robe. Elle défit le nœud de ses bras pour finir de l’enlever, et chercha à lui rendre la pareille. Elle le voulait nu, elle voulait être nue contre lui, elle le voulait en elle, elle voulait qu’il lui fasse l’amour. La chemise de Pierre tomba en premier. Il faut dire que toute résistance aurait été inutile tant les mains de Mireille étaient décidées à arriver rapidement à leur fin. Le pantalon suivi de peu, lui aussi vaincu par tant de détermination. Face à face, lui, en slip ne cachant guère son désir, elle, à peine plus vêtue, incapable de maîtriser le sien, ils se regardaient, se dévoraient des yeux, ne pouvaient dire un mot, sidérés par la violence de leurs envies.
Ce fut lui qui fit le premier pas et renoua le contact. Tendrement il défit l’agrafe du mince rempart de dentelle qui protégeait encore ses seins tendus. Pendant ce temps là elle caressait ce corps puissant et musclé, ce torse couvert d’une forêt de poils noirs et frisés, descendait ses mains à la taille, et presque timidement, comme ...