Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
rousseurs,
couplus,
voisins,
fépilée,
campagne,
magasin,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
uro,
Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... avoir la réponse qu’il espérait. Vers 2 h du matin les quatre amis se quittèrent. La nuit était chaude et étoilée, propice aux rêveries romantiques. Ils restèrent encore quelques minutes sur le pas de la porte, puis Françoise décidément la plus raisonnable décida que comme le lendemain ils avaient une journée chargée il était temps de rentrer. Ils se séparèrent donc là et Pierre et Mireille reprirent la route.
oooOOOooo
3
Ils devisaient sur l’événement de la soirée lorsque Mireille dit à Pierre :
— Arrête-toi là, dans le chemin, vite.
— Qu’est-ce qui t’arrive ?
— Pipi. Vite, arrête-toi sinon je mouille tes sièges.
Devant l’urgence, il s’arrêta à l’endroit demandé. Mireille descendit et traversa le chemin. Sur le côté de celui-ci se trouvait un tronc d’arbre couché. Les phares l’éclairaient en plein et on y voyait comme à midi. Elle grimpa sur le tronc, se tourna face à la voiture et lentement, en regardant bien en direction de son compagnon commença à remonter sa robe. Glissant centimètre par centimètre sur les bas, elle permit à Pierre de contempler une fois encore le galbe parfait des jambes de son amie. Puis il vit la dentelle des jarretières. N’y tenant plus il sortit à son tour du véhicule.
— Reste où tu es. Si tu avances encore je me cache.
Il obéit alors que la jupe lui dévoilait maintenant le sexe haut fendu qu’il aimait tant. Mireille arrêta son mouvement lorsque la robe fut autour de sa taille. Elle s’accroupit en équilibre sur la bille de ...
... bois, et commença à uriner, cuisses largement ouvertes, complètement exhibée. Ce fut un long jet limpide qui tomba sur le sol. Les lèvres qui faisaient obstacle au passage du liquide chantaient et cela faisait comme le bruit d’une source cachée dans la mousse d’un bois. Cela dura longtemps. Pierre regardait à la fois ce sexe si accueillant pour lui et qui l’émouvait toujours autant, et le visage de sa compagne sur lequel il revoyait pour la deuxième fois de la soirée l’air « couvent des oiseaux ». Muet il contemplait le spectacle imprévu que lui offrait celle qui partagerait sa nuit.
— Tu ne m’avais jamais fait ce coup là ! dit-il la voix rauque de désir.
— Ah bon ? J’avais dû oublier alors, dit-elle en éclatant de rire.
Elle avait fini de s’épancher et restait comme cela, moitié nue, offerte dans la lumière. Son sexe luisait dans la lueur des phares qui se reflétait sur quelques gouttes de liquide encore accrochées à ses grandes lèvres. Lentement elle se releva, finit d’enlever sa robe qu’elle jeta sur son épaule.
— Hé bien monsieur le vantard, n’aviez-vous point parlé de viol dit elle en descendant de son piédestal ?
Pierre s’approcha doucement, prit la robe d’une main et de son autre bras serra sa maîtresse contre lui. Ils se dirigèrent vers la voiture dont il éteignit le moteur et les phares. Il jeta la robe sur le siège arrière et ferma les portes.
— Viens dit-il.
Ils prirent le chemin, et quelques dizaines de mètres plus loin entrèrent dans un pré, en ...