1. ... Tout vient à point à qui sait...


    Datte: 12/06/2022, Catégories: fh, rousseurs, hotel, revede, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... divinement arrondies. Et quand elle recrache la fumée, putain ! qu’elle est bandante cette bouche en cul de poule !
    
    Je fis un pas. Non pour m’en rapprocher, je voulais la voir à distance. Porte fermée dans mon dos, j’étais hors de son champ de vision, mais j’avais un panorama extraordinaire. Ce dont je fus privé la veille j’eus alors tout loisir d’en profiter, le temps d’une cigarette.
    
    Depuis la bouche mon regard descendit, lentement, suivant la couture de son imperméable. J’en comptai quatre, mais trois seulement étaient boutonnés. Le dernier bouton flottait sur pan me cachant une cuisse, mais, de son pied droit ainsi en appui sur le mur, j’appréciai de la seconde, celle sur laquelle j’avais bavé de la bouche lorsqu’elle me fit tant couler du sexe, toute la beauté du bas qui l’enrobait. D’un noir étincelant, il prenait, de-ci de-là dans les rayons d’un soleil au zénith, des reflets ainsi certains oiseaux ont le plumage bleuté, électrique. Quant à l’accroche, dont je ne voyais que la lisière, je la devinais être d’une dentelle fine et raffinée.
    
    Ainsi postée devant un hôtel, habillée d’un simple imperméable et de bas, à fumer le regard vide, se doutait-elle de l’image qu’elle renvoyait, évoquait ?
    
    Je balayai la place du regard. Elle grouillait, mais ce monde était bien trop pressé, pour certains de ne pas rater leur TGV, pour les autres d’être arrivés à l’heure et vite quitter la gare, aussi personne ne prit le temps de la remarquer. Moi seul, dans ce tumulte ...
    ... incessant, je la voyais, certes de profil, mais je le connaissais déjà, de vue, d’odeur et de goût, ce corps qu’elle exhibait presque innocemment.
    
    Je ne suis pas voyeur. Si parfois mon regard s’était posé sur quelques femmes, jamais je n’en avais éprouvé un plaisir autre que contempler leur beauté, ainsi se juge l’art, en critique et non de désir ou de convoitise. Tout le contraire de ce qu’elle suscitait. Mais critique je ne l’étais plus. Je ne pouvais plus l’être puisque j’étais épris. Le jugement nécessite une analyse objective, désintéressée, bien que personnelle. Un tableau, une sculpture, un écrit, quel qu’il soit, renverra autant d’interprétations subjectives qu’il est de contemplateurs. Si tant est qu’aucun n’ait déjà un jugement précis de l’œuvre. Or, précis je l’étais, me l’étant juré de la détailler aussi minutieusement que je l’ignorais encore que trop cette femme, mais je n’étais plus assez rationnel pour l’apprécier d’un œil inconnu. Elle m’avait déjà pour acquis.
    
    Mégot éteint puis inséré entre le plastique et le carton du paquet, elle alluma une seconde cigarette sans attendre. Si de la première elle tira dessus à la rendre incandescente, aussi rouge et lumineuse qu’elle avait les cheveux étincelant au soleil, cette seconde elle sembla l’apprécier autrement que dans l’urgence d’un manque de nicotine. Plus sensuellement encore elle inspirait, retenait son souffle, et expirait. Après avoir rêvé être un filtre, cette fumée m’invitait tout autant, sinon plus, à ...
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