1. C'est cloche !


    Datte: 04/06/2022, Catégories: fh, couple, intermast, Oral pénétratio, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... que par une crème de soin. Il pouvait enfin pisser seul, se laver et s’essuyer, ce qu’ils regrettaient presque tous les deux, tant c’était l’occasion de jeux érotiques infinis. Mais il y avait d’autres avantages et les mains du curé rejoignaient maintenant son sexe et sa langue pour procurer de nouveaux plaisirs à la nonnette. Après toutes leurs lectures éducatives, les deux complices décidèrent enfin de devenir amants pour de bon. Le père Paul fut très doux, sœur Mathilde très coopérante, et de nouveaux plaisirs les transportèrent d’allégresse. Ils étaient cependant encore douloureusement restreints par le risque évident que Mathilde tomba enceinte. Il n’existait qu’une solution pour les satisfaire pleinement, utiliser une voie que l’église condamne. Le prêtre en était fort perturbé. Où qu’il cherchât, il tombait sur les mêmes concepts : à l’intérieur d’un couple, tout est permis à condition que le but ultime soit la procréation. En revanche, toutes les pratiques tournées exclusivement vers le seul plaisir sont bannies, entre faute grave et péché mortel selon les auteurs. Après mûre réflexion, le père Paul en conclut qu’il se trouvait déjà dans une recherche effrénée du plaisir au sein d’un couple illégitime, donc dans une situation de péché grave. Il s’en confia à sœur Mathilde qui, avec son ingénuité naturelle, lui répondit :
    
    — Eh bien, au point où nous en sommes, il ne peut plus rien nous arriver de pire. Alors, pourquoi se priver ?
    
    Faute d’être la voix de la ...
    ... sagesse, au moins était-ce la voix de la raison. C’est ainsi que la voie la plus serrée de Mathilde devint celle qui lui permit de recevoir en ses entrailles le plaisir de son amant. Elle en fut fort contente et en donna puissamment de la voix.
    
    Le printemps revint enfin et le petit curé, heureux d’avoir retrouvé le plaisir simple de serrer des mains ou de tenir le bâton de craie au catéchisme hebdomadaire, profita pleinement des nouvelles couleurs dont se pare la montagne, encore plus chatoyantes que celles de l’automne. Il avait cette légèreté d’esprit et ce bonheur primesautier que confèrent des couilles bien vidées, à l’instar de Mathilde qui montrait la grâce des femmes bien baisées. Durant une séance de confesse hebdomadaire au pseudo-couvent, la Mère supérieure le surprit. D’abord en confession, car, pour une fois, elle avoua une longue liste de ses emportements contre des sœurs, la plupart du temps pour des vétilles. Elle lui dit aussi vouloir s’entretenir avec lui loin de toute oreille indiscrète et l’invita à une promenade dans un coin reculé du parc. Le curé n’y vit point d’inconvénient, d’autant que cette femme était d’un commerce agréable et de plus fort jolie, du moins d’après ce que la cornette pouvait laisser paraître. Elle était fort jeune pour cette charge, tout juste quarante-deux printemps, et ne devait sa position qu’à son intelligence vive et son caractère bien trempé. Ils admirèrent l’explosion de la nature et des fleurs.
    
    — Eh oui, père Paul, c’est le ...
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