1. La mère, la fille, deux laisses et quelques hommes (1)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... appartenaient, les bites qui se présentaient devant elles et tentaient de ne rien perdre de ce que leur offraient les plus impatients.
    
    Souvent leurs têtes se heurtaient sous les attaques les plus brutales et leurs fesses se frottaient en permanence, ce à quoi Marie Lise ne prêtait plus aucune attention.
    
    Puis on jugea qu’il serait plus amusant de les mettre côte à côte afin de se faire sucer par l’une et lécher par l’autre simultanément.
    
    Marie Lise résista aux premiers hommes qui tentèrent de se branler entre les deux bouches maintenues en vis-à -vis, craignant d’embrasser sa fille. Elle se dérobait gentiment, quitte à se faire tirer les cheveux et redoublait de zèle à lécher les bourses ou sucer les types qui lui épargnaient cette épreuve.
    
    Mais bientôt sa détermination s’usa et lorsque la très grande et surtout très large queue de son voisin se présenta à ses lèvres comme une grossière flûte traversière et qu’elle vit une nouvelle fois approcher de l’autre coté le visage d’Emilie, elle ne tenta plus d’esquiver.
    
    Pensant que la bite en question était assez épaisse pour leur éviter de se toucher, elle arrondit sa bouche contre le membre viril face à celle de sa fille qui en faisait de même. Le voisin, tenant fermement les deux magnifiques têtes par des poignées de cheveux allait et venait entre les bouches et les langues humides des deux femmes, plus ou moins vite, plus ou moins lentement.
    
    Regardez moi ces putains, claironnait-il, comme elles aiment ma bite, ...
    ... comme elles bavent dessus. Et en effet, un filet de salive pendait sous le menton d’Émilie, produit conjoint des efforts presque instinctifs des deux femmes pour permettre au membre de glisser.
    
    A un moment, l’homme, après une longue série d’allers et retours, se retira brusquement, de sorte que la bouche trempée de Marie Lise rejoignit celle de sa fille Émilie, et pas seulement la bouche mais aussi la langue. Elle tenta de se retirer mais le voisin les maintint l’une contre l’autre. Marie Lise n’osait plus résister mais faute de pouvoir se dégager, gardait sa bouche close.
    
    Émilie, plus avancée dans la soumission que sa mère, moins retenue par des principes moraux qui encombraient encore Marie Lise, allait dans le sens du désir de ses maîtres, tentant d’immiscer sa langue entre les lèvres scellées de sa mère.
    
    Allez, vieille pute, l’encouragea un homme presque deux fois plus âgé que Marie Lise, ne fait pas ta mijaurée, donne un baiser à ta fille, on te lâchera pas tant que ce sera pas fait.
    
    Marie Lise délibéra en elle-même un instant, parvint à se convaincre qui si elle cédait cela, peut-être s’en contenteraient-ils et ne réclameraient-ils pas plus.
    
    Alors elle ferma les yeux et s’abandonna avec sa fille à un baiser passionné et obscène, tel que les homme n’auraient osé l’imaginer.
    
    Une clameur s’éleva dans l’assistance ainsi que quelques sifflets, recouvrant le clapotis des bouches et des langues mélangées avec gourmandise.
    
    Car oui, contre toute attente Marie ...