1. La mère, la fille, deux laisses et quelques hommes (1)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... constants portés à son apparence avait efficacement contenu chez Marie Lise les effets de l’âge et personne ne lui eut accordé ses 39 ans.
    
    Elle avait consacré à sa fille Émilie la même minutie depuis sa naissance à tous les détails de sa santé, la préservant du soleil comme du sucre comme de toutes les formes que peut prendre le stress. Si bien que la jeune fille, à 18 ans, rayonnait comme un idéal féminin. Dans la plénitude des formes de son corps, elle avait encore un visage si enfantin qu’on eut autant hésité à lui donner la majorité qu’à croire sa mère aux portes de la quarantaine.
    
    André, le jardinier du lycée d’Émilie était celui des maîtres qui exposait ainsi les deux femmes, les traînant en laisses derrière lui entre les hommes, invitant ces derniers à les toucher où ils le voulaient et de la manière qui leur convenait le mieux, expliquant que personne, surtout pas elles ne s’en plaindrait, à condition toutefois « de ne pas les abîmer ».
    
    Tous les hommes présents n’étaient pas forcement de bonne compagnie et pour certains, le rappel n’était pas superflu, en particulier les jeunes camarades d’Émilie dont les manières pouvaient être un peu frustes.
    
    Aux cinq hommes présents lorsque les femmes furent amenées dans le salon s’ajoutèrent en effet trois jeunes gens de la classe d’Émilie, sélectionnés pour leur majorité et pour leur grossièreté. Le C.P.E. de la jeune fille fit cette proposition que tous les autres maîtres trouvèrent amusante : livrer ces deux ...
    ... magnifiques créatures, si raffinées à une meute de crétins.
    
    L’un d’eux par exemple, entendant la règle énoncée par le jardinier, relâcha la pression qu’il exerçait sur un téton de la mère qu’il était en train de pincer et de tordre sans retenue.
    
    Un autre, longtemps frustré par la fille, renonça provisoirement à son projet de la gifler lorsqu’elle passerait près de lui et se contenta d’écraser discrètement une de ses fesses entre ses doigts en marmonnant « connasse », ce dont ni la chair résiliente d’Émilie ni son amour-propre assoupli par son éducation de soumise ne gardèrent trace.
    
    Plus tard, tous les hommes sans exception tentèrent de profiter du feu de l’action pour obtenir de Marie Lise qu’elle concède ce qu’elle s’obstinait à refuser, pour renverser ou au moins ébranler le tabou de l’inceste.
    
    Cette dernière digue ne céda pas d’un coup mais à force de brèches ouvertes ça et là par leurs tentatives répétées.
    
    On décida pour commencer de ne jamais trop les éloigner l’une de l’autre, de faire en sorte qu’elles se touchent toujours d’une manière ou d’une autre.
    
    Rapidement agenouillées, elle furent installées d’abord dos à dos tandis que les hommes formaient deux lignes de part et d’autre. Marie Lise fut légèrement troublée de sentir le contact du cul de sa fille contre le sien puis trop occupée pour y songer.
    
    Tous, un par un, se succédèrent devant les deux femmes qui, dûment éduquées, avalaient avec une égale dévotion, sans même regarder à qui elles ...