1. La mère, la fille, deux laisses et quelques hommes (1)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    Que restait-il de l’éducation bourgeoise de Marie-Lise tandis qu’agenouillée aux cotés de sa fille, elle embrassait sous une pluie d’insultes la même paire de couilles que leur voisin présentait à leurs lèvres ?
    
    Tout n’avait pas été détruit, loin de là. Les hommes appréciaient ses bonnes manières et sa culture, sinon pour bavarder avec elle avant de profiter d’elle, en tout cas pour la joie enfantine de la voir chuter de si haut pendant. Les injures que recevait sa délicieuse fille Émilie, abondantes et grasses, étaient toujours un cran en dessous de celles qu’elle devait endurer elle, sans doute pour augmenter la distance entre les sommet où son éducation l’avait hissée et les bas fonds dans lesquels elle était précipitée.
    
    Attenter à sa dignité semblait contribuer largement au plaisir des hommes présents ce soir là, en particulier ceux qui la connaissaient antérieurement au virage obscène que sa vie avait prit il y a quelques semaines.
    
    Sa pudeur au quotidien s’exerçait de la même manière, aussi, certains de ces hommes avaient-ils encore l’occasion d’admirer par exemple le naturel avec lequel elle se préservait des regards masculins, réajustant son corsage, abaissant sa jupe dans des gestes discrets et élégants, atavismes soigneusement entretenus au cours des siècles par des mariages bien choisis.
    
    Deux des collègues de bureau de son mari et un voisin, avaient déjà pu constater que la pudeur en question, aussi imposante qu’une citadelle de Vauban, la ...
    ... laissait aussi perméable aux outrages masculins que les dites citadelles l’était désormais aux touristes qui s’y pressaient en masse.
    
    Hervé Lenoir, un jour de la semaine dernière invité à dîner par par son patron, l’époux de Marie-Lise, en avait fait la merveilleuse expérience.
    
    Depuis des années, Marie Lise s’adressait à lui avec une bienveillance condescendante, comme si, subordonné à l’époux, Hervé devait l’être également à l’épouse.
    
    « Oh Hervé, allons, mon mari vous gronde car il ne sait pas parler gentiment mais vous allez lui montrer que vous pouvez emporter ce marché n’est-ce pas ? » Venait-elle de dire après que monsieur T, son mari, eut reproché à Lenoir de traîner à atteindre ses objectifs mensuels.
    
    « Bien sur, madame, sans aucun doute », avait répondu Hervé qui alternait entre « Marie-Lise » et ce « madame » en fonction des circonstances, ne renonçant en revanche jamais au vouvoiement alors que le couple se le permettait vis à vis de lui à de rares occasions, comme des emballements accidentels de domination affectueuse.
    
    A un moment, le mari s’excusa et quitta la pièce. Hervé posa sa serviette sur la table, se leva et s’approcha de Marie Lise.
    
    Comme on le lui avait indiqué, il lui suffit de glisser à l’oreille de cette femme aux manières impeccables : « À genoux ! », pour que cette dernière s’exécutât, toutes affaires cessantes et croisa les mains dans le dos, sa bouche entrouverte laissant dépasser un bout de langue à quelques centimètres de sa ...
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