1. La mère, la fille, deux laisses et quelques hommes (1)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... braguette.
    
    Lorsqu’elle tomba à genoux devant lui, Hervé demeura un instant interloqué puis, convaincu d’être passé de l’autre côté du miroir, brandit sous le nez de madame T son poing serré d’où sortait, tendu, son majeur. Sans rien dire il l’introduisit dans la bouche de Marie Lise qui immédiatement le suça comme la chose la plus délicieuse qu’elle eut jamais goûtée. Hervé se pencha à nouveau à son oreille, pour ne pas risquer d’être entendu du mari : « Relève-toi putain, et montre moi ton cul. »
    
    La belle jeune femme ôta le doigt de sa bouche à regret et se déplia devant Hervé, superbe dans son tailleur à la coupe sobre et élégante. Puis elle se retourna, souleva sa jupe jusqu’au dessus de ses hanches et s’inclina vers la table contre laquelle elle s’appuya.
    
    Hervé, pressé de mener son projet à terme avant que son patron ne revint des toilettes, baissa promptement la culotte de madame T, dégaina son portable et filma d’abord la vaste salle à manger, puis la table parfaitement dressée et Marie Lise penchée au-dessus, cul à l’air et enfin l’introduction du majeur qu’elle venait d’humecter avec sa salive.
    
    Je sais pas si j’emporterai ce putain de marché, salope, dit il à haute voix comme il entendait au loin la chasse d’eau, mais je partirai d’ici avec un beau souvenir. Tu aimes que je te doigte le cul ?
    
    « Oui monsieur, j’adore avoir votre doigt dans mon cul » répondit Marie Lise, face caméra.
    
    Ce fut la seule manière dont ce soir-là Hervé Lenoir, directeur ...
    ... commercial de la société détenue par monsieur T profita de la docilité de l’épouse de ce dernier, une minute, moins peut-être durant laquelle il se paya de toutes les humiliations subies depuis de longues années.
    
    « Merci monsieur » souffla Marie Lise après qu’il lui eut claqué une fesse, l’invitant à reprendre son rôle de dame patronnesse, ce qu’elle fit avec un talent égal, inaltéré par l’interlude.
    
    Si sa pudeur ou toute espèce de fierté pouvait désormais parfaitement s’éclipser au bénéfice de tout homme qui lui était désigné par ses maîtres, Marie Lise manifestait une dernière réticence à l’égard de l’un de leurs caprices : un contact intime entre elle et sa fille.
    
    Elle négociait fermement sur ce point alors qu’elle leur concédait tout par ailleurs. C’est ainsi qu’un jour, en contrepartie de leur clémence vis à vis de cette ultime limite, elle accepta d’être exhibée devant plusieurs hommes, aux cotés de sa fille, toutes deux nues et tenues en laisse.
    
    (Le chemin pour en arriver là est connu de mes lecteurs fidèles, les autres comprendront en lisant « Émilie, de jeune fille modèle à chienne exemplaire » et « Marie Lise, d’épouse fidèle à chienne docile » ou devront accepter cette invraisemblable situation comme point de départ de cette histoire. Ce faisant, ils ne prendront sans doute pas moins de plaisir que les premiers à ce récit.)
    
    Les deux femmes, en dépit de leur 21 ans d’écart se ressemblaient comme deux sœurs. Une hygiène de vie rigoureuse et des soins ...
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