1. À Paris


    Datte: 03/06/2022, Catégories: fh, fplusag, oncletante, grossexe, amour, Oral pénétratio, fsodo, init, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... vous derrière la camionnette » et c’est une entrée de garage…
    — Bon, demain on travaillera le démarrage en côte. Un petit whisky à la maison ?
    
    C’est évidemment un petit whisky et un grand ramonage. Mon polichinelle a du succès, et c’est finalement bien agréable. Elle me ramène à la maison pour le dîner, un délicieux rôti froid avec une salade, préparés maison. Après une bonne douche, j’échange un moment avec Gwen qui prendra un peu de vacances après le quinze août et le reste à la Toussaint. Elle me manque, je lui manque aussi. J’efface aussitôt la conversation, on ne sait jamais.
    
    À la fin de la semaine, le colonel me fait valider le code et transmet le dossier aussitôt pour l’examen du treize. Il aurait encore eu un képi qu’il l’aurait mangé. Car 40/40 au premier tour, ça ne lui était jamais arrivé. La suite se passe donc avec la seule Mathilde, qui se fait trousser à plusieurs reprises dans la nature, cramponnée à la voiture ou vautrée sur le capot. Nous avons bien essayé l’habitacle, plus discret, mais entre la chaleur et l’exiguïté du lieu, nous avons vite renoncé. En dehors de ma leçon de conduite tardive, mes journées sont donc libres et Béa en profite pleinement. C’est simple, elle ne se lève même pas. Elle attend le départ de mon père avec lequel je déjeune et je vais la rejoindre dans son lit. Ils font chambre à part parce qu’il ronfle comme une Harley. En une semaine, elle recouvre sa joie de vivre et l’envie de prendre soin de sa ligne et de son ...
    ... apparence. C’est bien.
    
    Le permis se passe sans encombre, avec un petit Monsieur qui cherche pourtant à me piéger autant qu’il le peut. Le colonel et Mathilde sont derrière, beaucoup plus tendus que moi. Mais j’applique encore une fois les conseils de Gwen et j’évolue dans ma ville, un lieu que je connais comme ma poche. Grâce aussi à Mathilde, je m’attends vraiment aux pièges qui me sont tendus, pas aussi nombreux cependant. On l’a forcé à me prendre en plus, il se venge le salaud. C’est lorsqu’il me demande de rentrer à l’école, sans la moindre question vicieuse, que je suis étonné, j’en aurais presque fait des erreurs. Béa était très fière de moi et veut fêter cela. Elle prépare un dîner de gala, cocktail avec des gougères, saumon fumé, petites quiches aux poireaux, chèvre chaud et salade de mâche, crêpes flambées. Quel cordon bleu !
    
    — Béa, il faudra que tu m’apprennes à faire des gougères, c’est super en apéro.
    — Facile, mon p’tit chou, c’est juste de la pâte à choux, mais salée avec du fromage. Et tu peux aussi faire des choux et les fourrer, au foie gras par exemple, ou avec du boudin, des escargots. C’est creux à l’intérieur.
    — Excellente idée, ça. Ça m’ouvre plein de perspectives, mais mes choux ne lèvent pas…
    — On essayera demain, tu verras que ce n’est pas sorcier.
    — Eh doucement, protesta mon père. Le boudin d’accord, mais le foie gras, je refuse de le financer !
    
    Évidemment, il faut faire attention à ce qu’on dit. J’ai envie de lui répondre que Gwen ne verrait ...
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