À Paris
Datte: 03/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... me dit :
— Putain, t’as un sacré ticket, toi. Mais va falloir assurer avec une jument pareille !
S’il savait comme ça tombe bien, moi l’étalon de service. Je suis cependant perplexe et un brin gêné, vis-à-vis de Gwen surtout. Et puis je ne sais rien de cette fille que je ne connaissais pas le matin même. En même temps… c’est vrai que je suis attiré, attrait de l’inconnu, de la nouveauté, et puis elle me drague ouvertement depuis cinq heures et demie de l’après-midi. Que faire, sinon laisser faire ? Elle revient, bise tout le monde, félicite pour la soirée et me demande :
— Je te ramène ? La conduite de nuit, on verra un peu plus tard. J’aurais bien bu un truc plus… consistant, pas toi ? J’ai du whisky chez moi, si ça te va.
On passe donc par la boutique, on monte chez elle par une porte collée à la devanture. À peine entrés, elle me roule un patin monstrueux. Devant mon air éberlué, elle ricane :
— Ben oui, mon gars, les nanas aussi peuvent avoir des envies, envie de mettre un garçon qui leur plaît dans leur plumard. Ça te choque ?
— Non, simplement je ne suis pas habitué.
— Ne me dis pas qu’à Paris, les filles sont plus réservées qu’ici et que tu ne te fais pas draguer, beau gosse comme tu es ?
— Je ne sais pas. Là-bas, j’ai ma copine, j’en suis amoureux et je ne vais pas chercher plus loin…
— Ah ! Le grand amour ! C’est bien, il y a un temps pour rêver. Tiens, le whisky promis. Mais tu sais, il y a longtemps que j’ai fini de rêver, et je n’ai que ...
... vingt-six ans. Mais je ne veux pas gâcher ton rêve ni ton idylle. Ce que je te propose, c’est juste de baiser, comme ça en passant. Si toutefois le matériel te convient. C’est du bio, élevé au grain, sans pesticides, sans OGM !
Disant cela, elle fait tomber sa robe, pose soutif et culotte en un tournemain. Vraiment une belle plante, qui ne fera assurément pas la une des magazines, trop balaise. Elle me ressert un patin avec le droit de toucher et d’éprouver sa robustesse dans le détail. Je suis fasciné par sa toison rousse autant que par la puissance de son corps. Je pelote à pleines mains, elle m’encourage et roucoule comme une colombe en chaleur. Étape suivante et incontournable, elle pose ma chemise et s’attaque à mon pantalon.
— Wôw ! Wôw ! Wôw ! Tu caches bien ton jeu pour un jeunot ! La vache ! Ben mon gars… va falloir que tu me fasses confiance parce que je n’ai pas de capote de cette taille-là. Mais juré, je suis clean. Oh putain, comment elle va se régaler la Mathilde ! Allez, viens.
Me voilà tout déconcerté. La première fille qui ne fait pas de chichis, qui ne se fait pas peur, qui me prend… comme je suis. Elle caresse, branle, suce un peu, mais ne s’attarde pas. Vite aux choses sérieuses, à plat dos cuisses ouvertes, une main pilotant le trépan pour guider le forage. Après c’est :
— Vas-y, mon grand, vas-y, pousse. Faut que ça rentre, bordel !
Ça finit par rentrer, à sa grande satisfaction. Elle m’agrippe des bras et des jambes, m’encourageant vertement avec ...