À Paris
Datte: 03/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... un vocabulaire choisi. Je recherche très égoïstement mon propre plaisir sans désir profond pour cette fille, terminant par une levrette effrénée. C’est drôle comme dans cette position elle a une taille, je suppose que de profil son ventre doit pendre un peu, il faut bien que ça passe quelque part. Elle beugle quand je donne mes derniers grands coups de reins avant l’inondation, ouvrant la bonde à plusieurs jours de rétention. Je me relève le premier, contemplant un bref instant le spectacle affligeant de cette grande fille avachie sur le dos, jambes ouvertes et repliées, luisante de sueur et le poil collé de miasmes. Ce ne sera pas mon meilleur souvenir.
— À la guerre comme à l’armée, fait-elle, pas de douche ici. C’est gant de toilette sur l’évier de la cuisine.
— Pas de problème, je prendrai une douche en rentrant.
Il est à peine une heure et demie quand elle me ramène, c’est dire que l’affaire a été vite expédiée. Béa a laissé les lumières extérieures et de l’entrée allumées, il n’y a plus d’éclairage public après minuit pour économies.
Dès sept heures trente, je suis debout pour déjeuner avec mon père.
— On traîne la nuit, maintenant, c’est ce que tu apprends à Paris ?
— Non, c’est juste parce que j’ai rencontré des copains de lycée qui donnaient une petite soirée.
— Et le permis ?
— Je le passe le treize, d’ailleurs j’y vais à neuf heures, entraînement intensif.
— Mais ça va te servir à quoi ? Tu ne vas pas me demander de te payer une voiture en plus ? ...
... Surtout pour traîner dans Paris ?
— Pas du tout, mais c’est bien de l’avoir. Et puis quand je suis ici, Béa pourra peut-être me prêter la sienne de temps en temps. Et si on fait de longs trajets, je pourrai te relayer.
— Mouais, ça te regarde. Remarque, moi aussi j’avais hâte de passer le permis à dix-huit ans, je reconnais. Mais c’était une époque où l’on rêvait encore sur les belles bagnoles, l’Alpine, la Stratos… J’aurais aimé faire des courses de côte…
La brève image de mon père au volant d’un bolide, tirant la bourre avec Sébastien Loeb, me traverse l’esprit et me fait sourire. Il part au boulot avec de belles pensées dans la tête, et c’est l’essentiel. Douche, bonjour rapide à Béa et direction l’auto-école, garde à vous ! Je prends une avoinée de première pour n’avoir que 18/20 aux tests du matin, censés être plus simples que ceux de la veille. C’est la formulation des questions qui me gêne dans ces tests, pas le manque de savoir. Mais j’en suis quitte pour acheter un code avec obligation de le réviser, stratégie commerciale sans doute. Je rentre vers onze heures, deuxième tour cet après-midi et conduite ce soir. Béa est en cuisine, jupette grise, débardeur rose et tablier. Elle a effectivement grossi, mais ce n’est pas dégoûtant, au contraire. Ça lui donne un côté « petit boudin », pardon… « petite femme dodue » plutôt appétissant. Gwen, au point où j’en suis, un peu plus un peu moins… Je mets donc mes mains sur les hanches rondes, elles glissent malencontreusement ...