À Paris
Datte: 03/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
grossexe,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... je cramponne le volant. Aux bâtiments, on est à cent vingt ! Elle me fait signe de ralentir, je lève le pied et je descends les vitesses une à une. Pas assez vite, il faut freiner en bout de piste pour pouvoir tourner.
— C’est bien, mais décontracte, relax, ne crispe pas elle roule toute seule.
— Ouais, facile à dire, dis-je en m’essuyant les mains sur mon pantalon. Je peux te dire quelque chose ?
— Bien sûr ?
— Non seulement il fait chaud, mais d’avoir tes cuisses sous le nez ça ne me décontracte pas…
— Ha ha ! Tu voudrais peut-être conduire d’une main ? C’est un peu tôt, tu ne trouves pas. Allez, gare-toi à l’ombre derrière l’épave, là-bas… Plus près du trottoir… encore… plus près, j’te dis ! Là… Allez viens, on va regarder sous le capot. Eh ! Celui de la voiture, pas le mien !
— Dommage !
— Voyez-vous ça. Au fait, tu fais quoi ce soir ?
— Rien, pourquoi ?
— Tu viens avec moi au « T’as la dalle » ? C’est un trio qui chante du Hugues Aufray.
— Ben oui, pourquoi pas ?
Elle me montre les principaux organes… de la voiture. Mais pas seulement. Penchée en avant, étirant le bras et aussi déboutonnée en haut qu’en bas, ses deux beaux hémisphères, vaguement soutenus par une lisière de dentelle blanche, se baladent sous mon nez, tantôt serré l’un contre l’autre, tantôt épris de liberté. Ça commence à m’agacer le polichinelle, en passe de sauter de son tiroir. Ce n’est pourtant pas une beauté, mais un corps athlétique doté d’une femelle animalité. Troublante. J’avale ...
... ma salive comme une bouchée mal mâchée. Elle se redresse, l’œil brillant d’avoir réussi son coup, et continue en me montrant l’emplacement de la roue de secours et du cric, s’accroupit pour me montrer à quel endroit le placer, cuisses grandes ouvertes et culotte en accès direct. C’est de la provoc sans retenue, surtout qu’on est en plein désert. On remonte enfin dans la bagnole.
— Allez, marche arrière. Tu démarres, tu débrayes, tu l’enclenches en soulevant l’anneau… voilà. Maintenant tu mets ton bras droit sur mon dossier et tu regardes derrière entre les deux appuie-têtes. Tu embrayes doucement et tu diriges de la main gauche… C’est bien. Stop. Tu repasses la première et tu te ranges à côté de l’épave…
Ce fut mon premier créneau. Raté. Au troisième, elle ouvre sa portière pour que je regarde la distance au trottoir. Évidemment, je suis obligé de me pencher sur elle, de survoler balcon et colonnes du temple. Faudrait pas que je me trompe de levier de vitesse. Ensuite elle me fait suivre le bord droit de la piste, à 50 puis à 90 de façon à ce que je m’imprègne du son de la voiture et de l’impression ressentie à ces allures limitées. Avec demi-tour au bout et sans manoeuvres.
— Bon, eh bien maintenant on va passer sur la route !
Je sors du terrain, elle va refermer.
— C’est super d’avoir cette piste pour s’entraîner, mieux qu’un parking de supermarché. Merci colonel !
Elle me fait faire un grand tour sur des routes de campagne. Sa vitre est grande ouverte, ses ...