Love, love, love...
Datte: 03/06/2022,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
telnet,
amour,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
coprolalie,
jouet,
Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... l’être. Une tête plonge vers son autel pour se délecter de sa source sacrée. De ses deux mains, elle maintient fermement l’assoiffé par les cheveux comme pour le noyer dans ses effluves. Son bassin tremble à peine, mais l’amplitude croissante de sa respiration rehausse l’impudeur de sa poitrine jusqu’à laisser échapper ses deux gros tétons dressés. Elle se lève, parvenant tant bien que mal à désaimanter le servant de son sexe. J’aperçois des parcelles de son corps, nu. Son membre, tendu, cherchant le soulagement contre sa cuisse, à elle, et dévoilant par intermittence son gland turgescent d’une douloureuse envie. Elle ne le laisse pas longtemps se confesser entre ses seins. Elle gardera le secret des perversions qu’il leur aura infligé. Elle le pousse vers le lit. L’espace d’un instant, j’ai la crainte que l’essentiel soit hors champ, mais par bonheur la queue dressée reste bien visible proche du bord de l’écran, elle semble secouée de spasmes quand la déesse de luxure dévoile sa complète nudité.
C’est lorsqu’elle plonge pour exaucer le chibre que je la reconnais. Amarylis lèche, pompe, bouffe, gobe, et submerge son homme de plaisir sous un déluge de salive, des couilles à la queue. C’est en trop pour le croisé qui demande l’extrême-onction. Amarylis enserre fermement d’une main la base de la verge qui miraculeusement ne laisse échapper qu’une petite goutte de foutre. Amarylis s’empresse de faire disparaître les preuves en quelques petits coups de langue sur la cuisse ...
... et la toute pointe du gland du bienheureux. La vigueur et l’honneur de la bite restés intacts, Amarylis avale le sabre sur presque toute sa longueur. Et c’est comme par magie que la queue réapparaît aux yeux du public presque entièrement recouverte d’un capuchon en latex. Saisissant à nouveau l’objet de ses convoitises, elle le fait pénétrer entre ses cuisses, entre ses lèvres. Son cul s’agite, s’excite, se branle. Certaines le font contre un mur ou dans l’air, pour vendre leur musique, Amarylis le fait contre un mâle et semble y prendre du plaisir.
Depuis tout à l’heure je n’entends rien. J’aurais pu allumer les enceintes. Voilà. Ses soupirs s’envolent en une symphonie. L’ode à la jouissance sera son acte final. Je pourrais me caresser, je pourrais jouir avec elle, avec eux, mais je reste paralysée par son corps, sa luxure sans limites, son abandon complet et son contrôle total. Elle se fait jouir sur ce gode de chair sans relâcher un instant la pression sexuelle qu’elle lui impose. Sa main remplace sans délai son fourreau satisfait, elle ôte le préservatif et astique le volcan au bord de l’explosion tout en l’amenant au bord du lit. Elle, à genoux par terre, lui, assis. Lui ! Au moment même où la connexion neuronale s’établit entre les aires de la vision et de la mémoire de mon cerveau, les éruptions blanchâtres souillent les reliefs d’Amarylis. Mon cœur est à l’arrêt. Mes yeux passent avec frénésie de ce visage angélique que j’aime de toute mon âme, à ces seins, cette ...