Love, love, love...
Datte: 03/06/2022,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
telnet,
amour,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
coprolalie,
jouet,
Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... qu’il m’appartenait toujours. Lui, son membre, son foutre, pour moi, pour ma gorge, pour le creux de mes reins. Rien qu’à moi. Je ne voulais et ne veux rien d’autre que de le posséder, et qu’il me possède, partout. Je le voulais dans mon cul, j’aurais dû lui demander, il n’a peut-être pas osé. J’aurais été à lui, et lui à moi.
Il a bien fallu partir. Il faut bien rentrer. L’année n’est pas finie. Dans le bus qui me ramène vers l’école, ma drogue me manque. Je me sens nerveuse, agacée. Je voudrais être seule pour me caresser, l’appeler, lui dire ce que je veux lui faire. Comme ces six semaines vont être longues… Je dois finir l’année, passer mes examens. L’année prochaine, je me rapprocherai de lui. On pourra prendre un appart ensemble, je reprendrai les cours à la fac.
— Non, mais t’es pas bien ? Tu vas pas quitter l’école pour un mec ?
— Et pourquoi pas ? C’est pas la meilleure des raisons ?
Depuis quelques jours, elle me saoule, Sophie. Elle pige rien, sérieux.
— Ben non, c’est la moins bonne.
— T’as jamais été amoureuse ou quoi ?
— Ben si, justement.
— Comment ça, justement ?
— Aujourd’hui, c’est tout beau tout rose. Tu te fais tes films, tu sniffes les pâquerettes, mais ton gars tu le connais à peine. Sa sucette a bon goût, mais je trouve ça un peu juste pour modifier tous tes plans.
— Tu comprends rien. Il se passe un truc. J’ai jamais connu ça. C’est pas le premier mec que je me tape, je te rassure.
— Écoute, comme tu veux. Après tout, je suis pas ...
... ta mère.
— En effet.
— Tout va bien alors.
— Oui, tout va bien.
Tout ne va pas si bien. Les autres filles sont tout autant à côté de la plaque. Finalement, je serai bien contente de la quitter, cette école. Dès qu’on parle d’amour, de sentiments, d’âme sœur, il n’y a plus personne. Je passe de plus en plus de temps seule dans ma chambre. Ça tombe bien, les examens de fin d’année approchent, j’ai pris du retard en maths expérimentales, je devais les bosser pendant les vacances et j’ai toute une pile de livres érotiques à lire d’ici juin.
J’ai trop envie de l’appeler. Avec lui, tout est si naturel. Je n’ai rien à expliquer. Il sait ce que je ressens, ce que je veux.
— Salut chéri.
— Coucou !
— Tu me manques, c’est pas possible.
— Toi aussi tu me manques, bébé.
— Je pense à toi tout le temps…
— Moi aussi. Ça se passe bien tes cours ? Pas trop hard, les maths ?
— Non, ça va.
— Et toi, qu’as-tu fait de beau ?
— On a étudié les relations entre les peuples, les communautés. C’est très intéressant de comprendre ce qui anime chaque individu, chaque groupe, comment les conflits naissent, comment on peut tenter des les résoudre. Il faudrait si peu pour que nous vivions dans un monde de paix, de fraternité entre les peuples. Si seulement nous pouvions mieux nous comprendre, partager davantage.
Pendant qu’il parle, ma main hypnotisée par sa voix descend le long de mon ventre et se love entre mes cuisses. Ma petite fente est trempée, mon bouton tout dur. Mon index ...